Lisez donc ces gogols du parisien : Par ailleurs, la Grèce a annoncé mardi un changement de tout son état-major militaire (le chef d’état-major des armées, les chefs d’état-major de l’armée de Terre, de la Marine et de l’Armée de l’air) et a déchargé de leurs fonctions une douzaine d’officiers de l’Armée et de la Marine. Officiellement, ces changements étaient programmés et n’ont pas de lien avec la crise politique qui pourrait entraîner la chute du gouvernement.
mensonge, il et bien indiqué en haut et à droite de chaque billet, « Billet non vérifié par Le Post » (ajoutant que le contenu n’engage que son auteur)... on en lit chaque jour, surtout pendant le printemps arabe.
BHL vaut moins qu’une ordure faites passer ...
@ chapoutier : merci j’avais compris avec la dernière réaction de Berlu. Lâche ! alors qu’il se sait parfaitement en cours de liquidation ! après la grèce l’italie puis la france....
Étonné par le choix du clan ??? tout est dit !
C’est pourtant clair non ??
Bonjour,
Alchimie un petit ouiouiste qui a peur pour son petit matos a du mal a comprendre ceux qui n’ont plus rien a perdre ... fini les petites vacances sur les îles grecques qui lui parlent d’avantage .... le réveil sera rude en France, 2012 encore plus...
Étonné par le choix du clan ??? à présent, les français doivent prendre conscience de ce qui se passe !!
Un eurodéputé UMP parle de « petits coups de politicien minables »
Comme Christian Estrosi, Valérie Rosso-Debord, députée UMP de Meurthe-et-Moselle, ne mâche pas ses mots. « En prenant unilatéralement cette décision, pour des considérations de politiques intérieures, M. Papandréou non seulement n’assume pas la mission qui est la sienne mais en plus compromet la finalisation d’un accord dont il a été l’un des premiers défenseurs », indique-t-elle dans un communiqué.
En prenant unilatéralement ??? Que signifie cette phrase en démocratie ?
« Les Grecs ont le droit de choisir leur destin ! » insiste Moscovici ...
« Un minimum de démocratie », selon Mélenchon...
Marianne, pratiquement TOUS, ils inversent les rôles feignant que c’est la politique grecque à travers Papandréou qui a mis en oeuvre ce référendum (pour fuire ses responsabilités, on parle même d’un plan vicieux) le Parisien n’est pas en reste mais de manières à toucher la politique européenne, nulle part il n’est fait mention du peuple grec à l’origine de cette décision voir les titres et le contenu des billets ...
qu’il s’en aille ... bon vent !
Les grecs donnesnt une leçon de gaullisme à l’Europe, on aura tout vu dans ce monde amoché par la décadence !!
savez vous que cette décision de référendum est reprise par tous les médias comme étant celle de Papandréou ! un scandale alors que c’est le peuple grec qui a pris en main son avenir et qui l’a imposé ! Je hais de plus en plus ces médias merde alors !
« Certes, les envoyés chinois ne sont pas plus intéressés par un vrai développement local »
Interviewé lors d’une émission politique très populaire en Grèce, Theodorakis a avertit que si la Grèce se soumet aux exigences de ses soi-disant« partenaires européens », c’en sera « fini de nous en tant que peuple et que nation ».
Il a accusé le gouvernement de n’être qu’une « fourmi » face à ces « partenaires », alors que le peuple le voit comme « brutal et offensif ».
Si cette politique continue, « nous ne pourrons survivre (…) la seule solution est de se lever et de combattre ».
Résistant de la première heure contre l’occupation nazie et fasciste, combattant républicain lors de la guerre civile et torturé sous le régime des colonels, Théodorakis a également adressé une lettre ouverte aux peuples d’Europe, publié dans de nombreux journaux… grecs.
Extraits :
Notre combat n’est pas seulement celui de la Grèce, il aspire à une Europe libre, indépendante et démocratique. Ne croyez pas vos gouvernements lorsqu’ils prétendent que votre argent sert à aider la Grèce. (…)
Leurs programmes de « sauvetage de la Grèce » aident seulement les banques étrangères, celles précisément qui, par l’intermédiaire des politiciens et des gouvernements à leur solde, ont imposé le modèle politique qui a mené à la crise actuelle.
Il n’y pas d’autre solution que de remplacer l’actuel modèle économique européen, conçu pour générer des dettes, et revenir à une politique de stimulation de la demande et du développement, à un protectionnisme doté d’un contrôle drastique de la Finance.
Si les Etats ne s’imposent pas sur les marchés, ces derniers les engloutiront, en même temps que la démocratie et tous les acquis de la civilisation européenne. La démocratie est née à Athènes quand Solon a annulé les dettes des pauvres envers les riches.Il ne faut pas autoriser aujourd’hui les banques à détruire la démocratie européenne, à extorquer les sommes gigantesques qu’elles ont elle-même générées sous forme de dettes.
Nous ne vous demandons pas de soutenir notre combat par solidarité, ni parce que notre territoire fut le berceau de Platon et Aristote, Périclès et Protagoras, des concepts de démocratie, de liberté et d’Europe. (…)
Nous vous demandons de le faire dans votre propre intérêt. Si vous autorisez aujourd’hui le sacrifice des sociétés grecque, irlandaise, portugaise et espagnole sur l’autel de la dette et des banques, ce sera bientôt votre tour.
Vous ne prospérerez pas au milieu des ruines des sociétés européennes.
Nous avons tardé de notre côté, mais nous nous sommes réveillés. Bâtissons ensemble une Europe nouvelle ; une Europe démocratique, prospère, pacifique, digne de son histoire, de ses luttes et de son esprit.
Résistez au totalitarisme des marchés qui menace de démanteler l’Europe en la transformant en Tiers-monde, qui monte les peuples européens les uns contre les autres, qui détruit notre continent en suscitant le retour du fascisme.
Interviewé lors d’une émission politique très populaire en Grèce, Theodorakis a avertit que si la Grèce se soumet aux exigences de ses soi-disant« partenaires européens », c’en sera « fini de nous en tant que peuple et que nation ».
Il a accusé le gouvernement de n’être qu’une « fourmi » face à ces « partenaires », alors que le peuple le voit comme « brutal et offensif ».
Si cette politique continue, « nous ne pourrons survivre (…) la seule solution est de se lever et de combattre ».
Résistant de la première heure contre l’occupation nazie et fasciste, combattant républicain lors de la guerre civile et torturé sous le régime des colonels, Théodorakis a également adressé une lettre ouverte aux peuples d’Europe, publié dans de nombreux journaux… grecs.
Extraits :
Notre combat n’est pas seulement celui de la Grèce, il aspire à une Europe libre, indépendante et démocratique. Ne croyez pas vos gouvernements lorsqu’ils prétendent que votre argent sert à aider la Grèce. (…)
Leurs programmes de « sauvetage de la Grèce » aident seulement les banques étrangères, celles précisément qui, par l’intermédiaire des politiciens et des gouvernements à leur solde, ont imposé le modèle politique qui a mené à la crise actuelle.
Il n’y pas d’autre solution que de remplacer l’actuel modèle économique européen, conçu pour générer des dettes, et revenir à une politique de stimulation de la demande et du développement, à un protectionnisme doté d’un contrôle drastique de la Finance.
Si les Etats ne s’imposent pas sur les marchés, ces derniers les engloutiront, en même temps que la démocratie et tous les acquis de la civilisation européenne. La démocratie est née à Athènes quand Solon a annulé les dettes des pauvres envers les riches.Il ne faut pas autoriser aujourd’hui les banques à détruire la démocratie européenne, à extorquer les sommes gigantesques qu’elles ont elle-même générées sous forme de dettes.
Nous ne vous demandons pas de soutenir notre combat par solidarité, ni parce que notre territoire fut le berceau de Platon et Aristote, Périclès et Protagoras, des concepts de démocratie, de liberté et d’Europe. (…)
Nous vous demandons de le faire dans votre propre intérêt. Si vous autorisez aujourd’hui le sacrifice des sociétés grecque, irlandaise, portugaise et espagnole sur l’autel de la dette et des banques, ce sera bientôt votre tour.
Vous ne prospérerez pas au milieu des ruines des sociétés européennes.
Nous avons tardé de notre côté, mais nous nous sommes réveillés. Bâtissons ensemble une Europe nouvelle ; une Europe démocratique, prospère, pacifique, digne de son histoire, de ses luttes et de son esprit.
Résistez au totalitarisme des marchés qui menace de démanteler l’Europe en la transformant en Tiers-monde, qui monte les peuples européens les uns contre les autres, qui détruit notre continent en suscitant le retour du fascisme.
https://www.facebook.com/event.php?eid=183924845023473
Khomeiny n’avait pas parlé d’islam modéré ....
« Que faisait exactement Moatassim Kadhafi au Bristol, voilà qui est aussi intéressant... passer aussi rapidement du pretigieux Bristol à une exécution sommaire, voilà qui devrait faire réfléchir pas mal de monde... non ? »
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