Tout comprendre des ARNm covid : personne ne sait contrôler la quantité de spike produite après injection
Personne ne sait contrôler la quantité d’antigène spike produite après injection, elle varie de 1 à 200 selon les individus et certains tirent le gros lot : explosion des IgG4, maladies auto immunes, cancers …
Mais pourquoi donc ont-ils tout misé sur cette protéine spike ? En plus d'être toxique pour l’endothelium des vaisseaux, ce n’est pas la protéine la plus immunogène du virus ; mais c’est celle qui mute le plus !
La quantité produite après injection, varie de 1 à 200 selon les individus et certains tirent le gros lot:explosion des IgG4, maladies auto immunes, cancers …
Une étude parue dans la revue Vaccines conclue sur le risque majeur d’effets très graves des injections covid pour les plus fragiles ! Malheur à ceux qui subissent des rappels et dont l’organisme se met à fabriquer trop de protéine spike. La nature des anticorps se modifie, il y a une explosion des IgG4 et avec eux des maladies auto immunes et des cancers … Encore ne s’agit il que d’un des effets toxiques des apprentis sorciers…
1 LES EXPLICATIONS D’HELENE BANOUN ET MARTIN ZIZI
Personne ne sait contrôler la quantité d’antigène spike produite in vivo après injection CECI EST INADMISSIBLE ET INTERDIT POUR TOUT MÉDICAMENT ! Et on veut continuer à injecter ces produits à la population mondiale ? 436 MILLIARDS de copies de protéine spike circulant librement dans le plasma, un mois après le vaccin de thérapie génique. Chez les enfants. Leurs cœurs ne s’en remettront jamais complètement.
Vu que c’est notre propre corps qui doit PRODUIRE le produit (ici l’antigène), et qu’il est à ce jour IMPOSSIBLE de calibrer et de standardiser cette production in vivo, il n’y a de facto PAS de posologie fixe.
NB – Ceci est du point de vue Mise sur le Marché illégal car un PRODUIT médicamenteux doit avoir une composition et une posologie connue et fixe pour pouvoir soumettre son dossier –
.Donc chez certaines personnes, – il n’y aura quasi aucune production de spike => pas d’effet du tout – chez d’autres il y aura juste ce qu’il faut => et cela marche
– chez d’autres encore il y aura trop => effets secondaires certains majeurs
– et chez le reste il y aura bcp +++ trop => TOXICITÉ majeure et catastrophes.
Les différences de production endogène de spike variant de 1 à 200, in vivo dans le corps des vaccinés furent publiées (fin 2022 !)
NB : Vous voyez pourquoi une POSOLOGIE connue est essentielle
… Vous voyez aussi que mesurer in vivo ne fut JAMAIS fait par les firmes pharma mais par des biologistes après coup ! Passons…
Ici, si ce processus se passe en chronique, cad surproduction continue, et ce phénomène fut rapporté et publié, que va-t-il arriver ? Mécanisme médical connu en fait.
Production d’anticorps +++ en chronique, comme dans les maladies de système chroniques. Nous allons donc avoir des complexes immuns – antigène+anticorps – circulants en garde quantité mais surtout en continu. La clearance cellulaire de ces molécules est DÉBORDÉE- certains globules blancs ont pour fonction de retirer ces complexes immuns, pour « nettoyer » en quelque sorte. Donc ces complexes circulant vont aller tapisser TOUTES les parois des vaisseaux et …avec le temps.
Ils vont activer divers phénomènes inflammatoires (CRP++), et surtout activer le turn-over de la coagulation (d-dimères augmentés +++, jusqu’à plus de 200 fois la norme !)… et alors… … si par accident, un trigger de coagulation passe par là - quel qu’il soit - on peut avoir une CIVD (coagulation intravasculaire disséminée – et donc ces incroyables caillots blancs gigantesques où le sang a pris « en masse » –
NB : Ce « tapissage » prenant du temps, il est tout à fait logique de voir ceci même 6-10 mois après le vaccin ARN car il faut : – production continue de l’antigène spike – complexes immuns circulants – et puis une cause d’activation de la cascade de coagulation. Ici ne passons PAS – comprenons !
TOUT ceci est logique, compris par les rhumatologues, et immunologistes, allergologues… tous ceux qui voient les maladies de Système au cabinet de consultation – MAIS ce fut juste dilué par le « fog of war ». C’est super triste. Du sang pris « en masse » comme si on coagulait en une fois. J’ai eu il y a quelques semaines notification du cas d’un docteur à HUG Geève à qui c’est arrivé ! Que peut-on faire ? Il ne faut pas attendre les autopsies, car la médecine contemplative = foutaise ! La médecine contemplative, via zoom = impossibilité de soins ! Mais passons… Surveiller les inflammations et surtout les d-dimères. Ces personnes seront celles qui seront à risque de ces coagulations en masse et affreuse, et si on voit dégradation, il est temps de les mettre sous anti-coagulants et de les revoir régulièrement. Ceci va encore une fois être du boulot important pour la 1ère ligne médicale.
2 Une nouvelle étude internationale parue dans Vaccines confirme la dangerosité des rappels #ARNm covid avec explosion des IgG4 responsables de maladies auto immunes, de cancers et facilitateurs de contamination
https://www.mdpi.com/2076-393X/11/5/991#B133-vaccines-11-00991
Cet article appartient au numéro spécial SARS-CoV-2 : Tolérance immunitaire et maladies auto-immunes après la vaccination contre la COVID-19 et ses événements indésirables associés )
Moins d’un an après l’émergence mondiale du coronavirus SARS-CoV-2, une nouvelle plateforme vaccinale basée sur la technologie de l’ARNm a été introduite sur le marché. À l’échelle mondiale, environ 13,38 milliards de doses de vaccin COVID-19 de diverses plateformes ont été administrées. À ce jour, 72,3 % de la population totale a reçu au moins une injection d’un vaccin contre la COVID-19.
Alors que l’immunité fournie par ces vaccins diminue rapidement, leur capacité à prévenir l’hospitalisation et les maladies graves chez les personnes atteintes de comorbidités a récemment été remise en question, et de plus en plus de preuves ont montré que, comme avec de nombreux autres vaccins, ils ne produisent pas d’immunité stérilisante, permettant de lutter contre de fréquentes réinfections.
Des niveaux localement élevés d’IgG4 dans les tissus cancéreux ont entravé les réponses anticancéreuses médiées par les anticorps, ont aidé le cancer à bloquer la réponse immunitaire locale et ont indirectement contribué à la progression du cancer.
La maladie à IgG4 est une entité connue depuis peu qui touche différents organes et ainsi concerne différentes spécialités : la rhumatologie, la pneumologie… Ce concept a été introduit par le biais de la gastroentérologie en général et des pancréatites auto immune (PAI) en particulier. Les atteintes peuvent être multi organes, digestives ou extra-digestives.
De plus, des enquêtes récentes ont trouvé des niveaux anormalement élevés d’IgG4 chez les personnes qui ont reçu deux injections ou plus de vaccins à ARNm. Il a également été rapporté que les vaccins contre le VIH, paludisme et la coqueluche induisaient une synthèse d’IgG4 supérieure à la normale.
Dans l’ensemble, trois facteurs critiques déterminent le changement de classe vers les anticorps IgG4 : une concentration excessive d’antigène, une vaccination répétée et le type de vaccin utilisé.
Il a été suggéré qu’une augmentation des niveaux d’IgG4 pourrait avoir un rôle protecteur en empêchant la suractivation immunitaire, similaire à celle qui se produit lors d’une immunothérapie spécifique allergène réussie en inhibant les effets induits par les IgE. Cependant, de nouvelles preuves suggèrent que l’augmentation signalée des taux d’IgG4 détectée après une vaccination répétée avec les vaccins à ARNm peut ne pas être un mécanisme de protection ; plutôt, il constitue un mécanisme de tolérance immunitaire à la protéine de pointe qui pourrait favoriser une infection et une réplication sans opposition du SRAS-CoV2 en supprimant les réponses antivirales naturelles. Une synthèse accrue d’IgG4 due à une vaccination répétée d’ARNm avec des concentrations élevées d’antigène peut également provoquer des maladies auto-immunes et favoriser la croissance du cancer et la myocardite auto-immune chez les individus sensibles
La désignation « maladie systémique liée aux IgG4 » fait référence à plusieurs manifestations cliniques qui étaient autrefois considérées comme des maladies complètement distinctes. La liste des organes liés à cette maladie ne cesse de s’allonger. Quel que soit l’organe concerné, les biopsies tissulaires montrent des similitudes histologiques importantes. Cependant, il existe également de légères variations entre les organes
LA PROLIFERATION DES IgG4 EST CONNUE POUR LES TENTATIVES DE VACCINS PALU ET SIDA
Il est important de noter que la probabilité de contracter le paludisme a augmenté d’environ trois fois lorsque les niveaux d’IgG4 non neutralisants ont doublé.
De même, dans l’étude sur le VIH, l’élimination des anticorps IgG4 du sérum a entraîné des élévations significatives des activités effectrices médiées par Fc, confirmant un rôle non protecteur des anticorps IgG4.
Enfin, ces résultats négatifs ne devraient pas affecter toutes les personnes qui ont reçu ces vaccins à ARNm. Les personnes présentant une prédisposition génétique, des déficits immunitaires et des comorbidités sont probablement les plus susceptibles d’être touchées. Cependant, cela donne lieu à un paradoxe inquiétant : si les personnes les plus touchées par la maladie COVID-19 (les personnes âgées, les diabétiques, les hypertendus et les personnes immunodéprimées comme celles qui ont le VIH) sont également plus susceptibles de subir les effets négatifs de Vaccination ARNm, est-il alors justifié de les booster ? Comme il a été démontré que les sous-variantes d’Omicron sont moins pathogènes [ 133 , 134 , 135 , 136 , 137 ], et que les vaccins à ARNm ne protègent pas contre la réinfection [14 , 138 ], les cliniciens doivent être conscients des effets néfastes possibles sur le système immunitaire en administrant des rappels.
Des doses répétées de vaccxxx covid à ARNm, en particulier chez ceux qui sont réinfectés, induisent une commutation de classe d’anticorps vers des niveaux relativement élevés d’un type immunosuppresseur anti-inflammatoire non neutralisant, IgG4..
Cela conduit à une instabilité génomique et potentiellement à des cancers, y compris des lymphomes, généralement avec un délai de 2 à 12 ans.
ALERTE:Les « vacccxxx » covid produisent les mêmes effets désastreux que les vaccins abandonnés contre le virus du SIDA : facilitent la contamination et multiplient les cancers et les maladies auto immunes
Publié le 18 janvier 2023 par pgibertie
La multiplication des doses modifie la nature des anticorps, et ce n’était pas prévu…………………………
Publié le 3 janvier 2023 par pgibertie
Après la deuxième dose les IG2et IG4 représentent 10,98% du total mais 22,54% après la troisième , plus ils sont importants plus la gravité de la maladie et la contagiosité sont élevées Bonne synthèse : https://www.covid-factuel.fr/2022/12/29/lhypothese-dune-tolerance-immunitaire/ L’étude d’Irrgang et al., en particulier, … Lire la suite →
3 CES RAPPELS UTILES DE C REVERBEL
Petit Rappel : pour ceux qui continue d’affirmer qu’il n’y a aucun risque à vacciner les femmes enceintes ou les enfants avec les vaccins #Covid19, je rappelle qu’aucune étude sérieuse et indépendante au sujet de la carcinogénicité, génotoxicité et teratogénicité de ces produits n’a été réalisée Des études ont soulevé des risques potentiels énormes :
1- Il a été montré que l’ARN du SARS-CoV2 pouvait, être rétrotranscript en ADN dans les cellules humaines puis être intégré dans le génome humain et s’exprimer, c’est-à-dire produire des protéines virales. #PNAShttps://pnas.org/doi/10.1073/pnas.2105968118
2-Un document émis par la FDA américaine suite à une demande FOIA (Freedom of Information Act) [2] montre que l’ARNm et les nanolipides des vaccins se distribuent dans l’ensemble du corps avec des accumulations dans les ovaires, la rate et le foie principalement. https://phmpt.org/wp-content/uploads/2022/03/125742_S1_M4_4223_185350.pdf
3-Il existe des preuves de l’entrée rapide de l’ARNm du vaccin Pfizer dans les cellules et de la transcription inverse intracellulaire ultérieure de l’ARNm BNT162b2 en ADN, contrairement à ce qui avait été annoncé par les autorités de Santé Publique https://mdpi.com/1467-3045/44/3/73/htm
4-Une étude publiée dans la revue #Cell montrent que les ARNm ET la Spike pour laquelle ils codent restent détectables jusqu’à 60 jours dans le corps des vaccinés au niveau des ganglions lymphatiques https://sciencedirect.com/science/article/pii/S0092867422000769
5-La Spike induite par l’injection vaccinale Pfizer circule jusqu’à 4 mois dans le sang https://jimmunol.org/content/207/10/2405.longOUI, on peut dire qu’il était nécessaire de faire réaliser ces études par des experts indépendants, et cela aurait du l’être bien avant de préconiser voire contraindre à la vaccination des femmes enceintes et des enfants. Il aurait juste fallu appliquer le très respectable PRINCIPE DE PRECAUTION Ces technologies vaccinales JAMAIS UTILISÉES au préalable en population générale sur des personnes en bonne santé, n’auraient JAMAIS DÛ être utilisées sans des études préalables, indépendantes des labos.
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