Surmortalité : 2020 normale ; 2022, la tragédie, Allemagne, France, Europe ; toutes les données innocentent la covid et la canicule
En Allemagne également, la #surmortalité augmente avec les vaccinations. #Covid et #canicule innocentées. La Covid inoffensive pour les enfants mais pas les injections
Les analyses se suivent et se ressemblent, la surmortalité en Allemagne est proche de celle de la France, la revue Cureus (Springer Nature) publie une étude revue par les Pairs qui démontre le faible impact de la covid en 2020, comme si la Covid n’avait été qu’une grippette médiatisée. Tout change à l’hiver 2020/2021 pour les plus âgés puis au printemps 2021, la surmortalité explose quand on injecte les différences tranches d’âge.
Paradoxalement la pire année de surmortalité sera 2022 et la covid ou la canicule n’y sont pour rien. L’étude nous montre une fois de plus, les enfants totalement protégés de la covid en 2020 mais hélas exposés aux injections
Le silence médiatique est criminel…
Pour mettre en perspective, la France et l’Europe
Les statistiques officielles mettent en évidence une sous mortalité des moins de 14 ans en Europe en 2020 ,avant la vaccination, puis une explosion de la mortalité à partir des injections
Publié le 12 juin 2023 par pgibertie
Le gouvernement cherche des communicants imaginatifs pour expliquer la #surmortalité catastrophique de 2022 et innocenter les injections covid
Publié le 7 juin 2023 par pgibertie
En prenant en compte les évolutions démographiques et les groupes d’âges, l’INSEE a constaté pour 2022, 54000 décès de plus qu’attendus. C ‘est pire qu’en 2020 avec la covid et qu’en 2021. L’Insee cherche des explications dans la canicule … Lire la suite →
L’ETUDE ALLEMANDE
La vaccination des jeunes, une idiotie ? un crime ? ou les deux ? Les statistiques officielles posent problème : sous mortalite des moins de 14 ans en 2020 en plein covid, explosion de la mortalité à partir du moment où leur injection débute… … Lire la suite →
Dans l’ensemble, on pourrait s’attendre à ce que la vaccination de grandes parties de la population ait réduit la surmortalité. On observe le contraire : la surmortalité et le nombre de mortinaissances augmentent avec l’augmentation des vaccinations.
Dans toutes les tranches d’âge inférieures à 80 ans, la surmortalité était plus élevée la deuxième année et surtout beaucoup plus élevée la troisième année de la pandémie, où une grande partie de la population était vaccinée. Ces observations sont surprenantes et des investigations plus détaillées dans différents domaines scientifiques sont fortement recommandées pour exclure que ces signaux de sécurité se produisent en raison de l’existence d’effets secondaires inconnus des vaccins COVID-19.
En 2020, le nombre observé de décès était extrêmement proche du nombre attendu, mais en 2021, le nombre observé de décès était bien supérieur au nombre attendu de l’ordre du double de l’écart-type empirique, et en 2022, au-dessus du nombre attendu même plus de quatre fois l’écart-type empirique.
L’analyse de la surmortalité mensuelle en fonction de l’âge a montré qu’une surmortalité élevée à partir du printemps 2021 est responsable de la surmortalité en 2021 et 2022. Une analyse du nombre de mortinaissances a révélé un schéma de mortalité similaire à celui observé pour le groupe d’âge entre 15 et 80 ans.
Jusqu’en juillet 2020, le nombre de décès en excès est inférieur au nombre de décès COVID-19 déclarés, et à l’exception d’avril 2020, un déficit de mortalité est observé malgré la déclaration des décès COVID-19. D’août 2020 à décembre 2020, le nombre de décès en excès et de décès signalés par COVID-19 coïncide largement. Cependant, après cela, le nombre de décès dus au COVID-19 reste à un niveau élevé alors que la mortalité toutes causes confondues diminue, et en février et mars 2021, un déficit notable de mortalité toutes causes confondues est observé malgré un nombre élevé de décès dus au COVID-19 signalés, jusqu’à 10 000. À partir de septembre 2021, on observe une augmentation marquée de la surmortalité qui ne s’accompagne pas d’une augmentation comparable des décès déclarés liés au COVID-19. À partir de janvier 2022, les deux courbes se découplent, et à partir de juin 2022, le nombre de décès en excès est de plus en plus important que le nombre de décès déclarés par COVID-19 : en décembre 2022, près de 25 000 surmortalités sont observées mais seulement 4,330 décès de COVID-19 signalés. Il est donc évident que le nombre de décès signalés par COVID-19 fluctue d’une manière ou d’une autre indépendamment de la surmortalité et contient un grand nombre de décès attendus.
Dans tous ces résultats obtenus par les tables de mortalité des dernières années de l’Office fédéral de la statistique d’Allemagne, et dans la plupart des autres modèles [5-9] , le point principal coïncide avec nos résultats : pour 2020, le nombre de décès est proche de celui attendu alors que pour 2021, il y a une surmortalité notable, et pour 2022, il y a un énorme excès de mortalité, qui n’a pas été observé au cours des dernières décennies
Publié dans éducation prépa école de commerce
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