• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Accueil du site > Tribune Libre > La testostérone augmente-t-elle l’agressivité ?

La testostérone augmente-t-elle l’agressivité ?

JPEG

La testostérone est une hormone stéroïde produite en grande quantité par les hommes, responsable du développement de l’appareil génital et de l’apparition des caractères sexuels secondaires à la puberté (pilosité, voix grave, développement de la musculature…). Elle est le symbole de la masculinité et on l’associe volontiers à l’agressivité, mais qu’en est-il réellement ? Il semblerait que les effets de la testostérone sur les comportements quand elle est présente en quantité physiologique dans l’organisme, mais également son impact quand elle est prise à forte dose en cas de dopage.

Les liens étroits entre testostérone et agressivité

L’agressivité est une tendance comportementale commune au sein du règne animal, observée plus fréquemment chez les mâles que les femelles. Dirigée contre des représentants d’autres espèces ou ses propres congénères, elle permet de s’imposer dans un rôle dominant et facilite l’accès à la reproduction. Ces comportements sont en lien étroits avec la production de testostérone, et l’homme ne semble pas échapper à cette influence.

La testostérone est produite à partir du cholestérol, principalement au niveau des organes génitaux de l’homme, par les cellules de Leydig du testicule, mais aussi en petite quantité par les ovaires chez la femme. Les glandes surrénales en secrètent également.

Des niveaux de testostérone élevés chez les hommes agressifs

De nombreux travaux cherchant à établir l’éventuelle responsabilité de l’hormone dans les comportements agressifs ont été menés dans un milieu qui concentre la violence : la prison. Des études ont ainsi établi que les hommes incarcérés pour avoir commis des crimes violents présentent des niveaux de testostérone dans leur salive plus élevés que ceux emprisonnés pour des crimes d’une autre nature. Les détenus qui enfreignent les règles au sein du milieu carcéral présentent également des niveaux salivaires plus importants de testostérone.

Par ailleurs, une étude conduite par les Professeurs Dabbs et Morris de l’université de l’état de Géorgie aux États-Unis auprès d’un large échantillon d’hommes de l’armée américaine (près de 4500) a établi un lien entre le niveau sanguin de testostérone et différents comportements antisociaux et violents.

Un niveau accru de testostérone a également été mis en évidence au niveau du liquide dans lequel baigne le cerveau chez les hommes alcooliques coutumiers de faits de violence par rapport à des hommes plus pacifiques.

La castration chimique réduit certains comportements agressifs

Ces données ne suffisent pour autant pas à incriminer la responsabilité de la testostérone dans les comportements agressifs ; une étude dirigée par le Professseur Loosen du département de psychiatrie de l’université Vanderbilt de Nashville dans le Tennessee dessine plus précisément ce lien de causalité.

Des hommes volontaires ont accepté de recevoir un médicament qui bloque la production d’une hormone, la gonadolibérine (GnRH), produite par l’hypothalamus située au niveau du cerveau. Celle-ci ne peut plus stimuler la production de deux autres hormones par l’hypophyse, elles-mêmes impliquées dans la sécrétion de testostérone. La prise de ce composé revient donc à réaliser une castration chimique, réversible dès son arrêt. Le manque de testostérone a provoqué une baisse des comportements agressifs dirigés vers autrui chez l’ensemble des participants.

La testostérone active les zones cérébrales impliquées dans la réactions face aux menaces

Comment expliquer cet effet de la testostérone sur le comportement ? Pour le comprendre, il faut en observer ses effets sur le cerveau.

L’équipe du professeur Goetz, psychologue à l’université de Wayne à Détroit, s’est intéressée aux conséquences de l’administration d’une seule dose de testostérone sur la réponse cérébrale de 16 jeunes hommes en bonne santé. Ils n’ont pas utilisé une dose massive de testostérone, mais bien une quantité comparable à celle que l’organisme masculin peut produire naturellement.

Les niveaux de testostérone circulant dans l’organisme ont rapidement augmenté et la réactivité de plusieurs régions du cerveau s’est accrue lorsqu’on a présenté aux participants des photos de visages exprimant la colère. Les régions cérébrales activées, principalement l’amygdale et l’hypothalamus, sont celles impliquées dans la réaction face aux menaces et aux agressions. Dans les mêmes circonstances, le cerveau des femmes réagit de façon comparable.

Des psychologues de l’université du Texas à Austin ont par ailleurs montré que l’hormone réduit en revanche l’activité dans la zone orbito-frontale, une région du cerveau impliquée dans la maîtrise des pulsions et le contrôle de soi. Elle diminue également la connectivité entre cette région du cerveau et l’amygdale.

De telles caractéristiques – une hyperactivité de l’amygdale couplée à une baisse d’activité de la région orbito-frontale – est d’ailleurs observée de façon caractéristique chez des personnes ayant une tendance à commettre des agressions de façon impulsive.

Les effets de la testostérone dépendent de votre personnalité et de votre statut social

Conclure que la testostérone rend les hommes agressifs serait pourtant un raccourci trop rapide. En effet, différents paramètres vont réguler l’impact de l’hormone sur le comportement.

Pour évaluer les effets de l’administration de testostérone sur l’agressivité, des chercheurs canadiens dirigés par le Professeur Justin Carré ont recruté 121 hommes, qui ont reçu une dose de l’hormone ou un produit un placebo. Les participants ont ensuite joué à un jeu vidéo qui évalue les comportements agressifs en réponse à une provocation sociale. L’administration de testostérone a provoqué une augmentation de l’agressivité rapidement (en l’espace de 60 minutes), mais uniquement chez les participants qui présentent un caractère dominant ou une faible maîtrise de soi.

Cette même équipe avait quelques années auparavant montré que ce n’est pas le taux de testostérone de base qui influence les comportements agressifs, mais plus l’intensité de son élévation au cours d’une compétition.

La concentration en testostérone dans l’organisme n’est pas toujours au même niveau ; elle varie au cours de la journée, des saisons ou des événements, augmentant lors d’une compétition sportive par exemple ou en cas de danger.

Là encore, la personnalité intervient : la testostérone dont les niveaux sont boostés après une victoire encourage les réponses violentes, mais uniquement chez les hommes dominants.

Le Professeur Yukako Inoue et son équipe de l’université de Tokyo ont montré qu’un fort taux de testostérone peut aussi bien promouvoir la dominance que la soumission, selon le statut social des personnes. Cela suggère que la testostérone pourrait en fait optimiser le comportement social des personnes, leur permettant de s’adapter au mieux en fonction du contexte. Il a aussi été montré que l’administration de testostérone renforce la tendance à se conformer aux normes morales de la société lorsqu’on fait face à un dilemme moral.

L’hormone pourrait donc avoir une influence bien plus complexe sur la personnalité, qui tranche avec la simple image de brutalité qui lui est associée.

 

De fortes doses de testostérone déclenchent des réactions violentes

Parmi les nombreux effets indésirables sur la santé associé à la prise de testostérone comme substance dopante, figure l’augmentation de l’agressivité. Les anglophones utilisent un terme évocateur pour définir une des formes extrême qu’elle peut prendre : la « roid rage », un accès de rage associé à la prise des stéroïdes.

L’impact de la prise de quantité importante dérivés de testostérone a été l’objet de nombreuses études.

L’une d’elles a montré que l’administration de 600 mg de testostérone par semaine augmente symptômes maniaques (hyperactivité, euphorie, agitation, sentiment de puissance…) et les comportements agressifs chez les hommes. Cependant, tous ne réagissent pas de la même manière et un petit nombre va subir ces effets de façon particulièrement intense.

Une autre étude a comparé les effets d’une faible (40 mg par jour) et d’une forte (240 mg par jour) dose de méthyltestostérone – une forme synthétique de l’hormone utilisé comme traitement pour les hommes présentant un déficit en testostérone et détournée en produit dopant – pendant trois jours sur l’humeur et le comportement de 20 jeunes hommes en bonne santé.

La plus forte dose a provoqué des changements sur plusieurs aspects de la personnalité des participants, dont l’irritabilité, a provoqué l’apparition de sentiments d’hostilité et de violence, de façon subtile mais bien réelle chez la plupart des participants. Deux ont réagi de façon extrême : l’un a présenté un épisode maniaque, l’autre un épisode hypomaniaque (moins intense que le précédent).

Une prise en charge de certains hommes atteint d’un niveau de testostérone réduirait probablement les violences, les crimes, ces hommes étant victimes d’eux mêmes ignorant que la source de leur violence résiderait dans cette hormone. Encore faudrait il les informer également à ce sujet pour cette prise de conscience. Les médecins généralistes, psychiatres et les médias se doivent également d’être porte parole de cette information vers cette voie de guérison.

June

 


Moyenne des avis sur cet article :  2.06/5   (18 votes)




Réagissez à l'article

30 réactions à cet article    


  • eddofr eddofr 29 juillet 2021 16:41

    Si vous informez deux individus qu’ils sécrètent un taux anormal de testostérone qui induit des comportements agressifs, l’un, fort de cette connaissance, maîtrisera mieux ses accès de violence, l’autre, fort de cette excuse toute trouvée ne maîtrisera plus rien du tout.


    • Clark Kent Lampion 29 juillet 2021 16:45

      Question de dosage. Même si les femmes ont moins de testostérone que les hommes, cette hormone intervient chez elles dans de nombreux domaines :

      • Le développement musculaire et osseux, d’ailleurs les sportives de haut niveau l’ont bien compris...
      • La mémoire. Un laboratoire australien a mis au point un gel à base de testostérone à étaler sur le bras pour stimuler les performances cognitives.
      • Le muscle cardiaque, y compris qu’un apport excessif de testostérone médicamenteuse augmente le risque d’infarctus et d’AVC...
      • La libido des femmes, à l’image de celle des hommes : le désir.

      A la ménopause survient, les ovaires cessent de fonctionner et le taux de testostérone diminue brutalement. Les conséquences sont connues :

      • les muscles (en particulier ceux des bras) deviennent moins toniques et la masse grasse se répartit différemment (elles grossissent plus facilement du ventre et des hanches).
      • le squelette se fragilise. Les fractures sont plus fréquentes (surtout au niveau de la hanche) et le risque d’ostéoporose augmente.
      • Le muscle cardiaque perd en tonicité
      • Fatigue plus importante et risque d’anémie plus élevé, puisque cette hormone intervient également dans la fabrication et le remplacement continu des cellules sanguines.
      • Enfin, la libido diminue... ou disparait

      C’est que la testostérone n’est pas produite que par les testicules, contrairement à ce que son étymologie pourrait laisser croire !

      Prochain sujet : l’envie de l’autre est-elle de l’« agressivité » ?


      • DLaF mieux que RN ou Z / Ukraine nemesis 29 juillet 2021 17:16

        @Lampion
        Enfin, la libido diminue... ou disparait

        Ce n’est pas vrai pour toutes les dames... heureusement !


      • Clark Kent Lampion 29 juillet 2021 17:24

        @nemesis

        pas toutes, mais beaucoup...
        surtout celles qui, en matière de sexualité, n’ont jamais fait que trouver un soulagement à l’intensité de leur flux hormonal.
        la libido, ce n’est pas l’érotisme dans lequel le plaisir n’est pas que la satisfaction d’une pulsion, mais celle d’un désir et le partage d’une complicité, d’une intimité


      • chantecler chantecler 29 juillet 2021 19:39

        @Lampion
        Et l’orgasme dans tout ça ?


      • Clark Kent Lampion 29 juillet 2021 21:13

        @chantecler

        Il y a quatre types d’orgasme :

         

        L’orgasme positif :

        « Oh oui oh oui … »

         

        L’orgasme négatif :

        « Oh non oh non … »

         

        L’orgasme religieux :

        « Oh mon dieu … »

         

        L’orgasme simulé :

        « Oh Séraphin … »


      • chantecler chantecler 29 juillet 2021 21:44

        @Lampion
        Ah oui, Modeste Séraphin Lampion ...
        Mais tu ne précises pas la fréquence :
        Au moins deux fois par mois ?


      • Aimable 30 juillet 2021 00:24

        @chantecler
        Au minimum , je dirais au moins 3 fois par jour , parce qu’avec l’âge il commence a être dans le déclin  smiley


      • Fergus Fergus 30 juillet 2021 09:05

        Bonjour, Lampion

        « Oh Séraphin … »

        Belle lucidité ! smiley


      • Francis, agnotologue Francis, agnotologue 30 juillet 2021 10:08

        @Fergus
         
         toujours dans le caniveau.


      • troletbuse troletbuse 30 juillet 2021 10:13

        Tiens, vous êtes sorti de votre piscine pour un post sans importance. Allez Plouf !  smiley


      • jjwaDal jjwaDal 30 juillet 2021 10:17

        @Lampion
        Des recherches en neurophysiologie sur les aires cérébrales dites « du plaisir » (leur stimulation engendre cette sensation) ont montré dans les années 1970, que l’intensité perçue est modulée par la testostérone. Au plus de cette hormone, au plus le plaisir ressentis est intense.
        Or il se trouve que l’évolution a décrété que tout stimulus physique est une source de plaisir basique.
        Il n’y a donc pas à chercher bien loin l’appétit bien plus important du sexe produisant en plus grosse quantité cette hormone pour les pratiques physiques intenses, les prises de risque, le combat, les drogues, la compétition, le sexe, en bref, toutes les sources de plaisir en général.
        Pour simplifier , en base, du fait de leur production de testostérone, les hommes sont bien plus accrochés par les pratiques sources de plaisir que les femmes. Cette généralité peut bien sûr être modulée et battue en brèche par l’éducation en plus ou moins grande partie, mais neurophysiologiquement il y a une asymétrie entre les deux sexes qui ne se limite pas à l’aspect physique et à l’éducation reçue.


      • Iris Iris 31 juillet 2021 20:55

        @Lampion
        Faites pas le modeste, on sait bien que vous assurez au pieu comme ailleurs.


      • Mélusine ou la Robe de Saphir. Mélusine ou la Robe de Saphir. 2 août 2021 11:41

        @Lampion Bonjour, Annick de Souzenelle, née en 1922 est loin d’avoir perdu sa testostérone psychique : Son Site : l’ARIGAH, vidéo : la femme couchée. Une conférence devait avoir lieu le 2 juillet : juillet 2021 : L’apocalypse. Avec le Covid, elle est passée en vidéo conférence....Comme toujours, ses prédictions se révèlent exactes..Si vous préférez l’horizontalité, c’est votre choix... Le testostérone, c’est ce qui a permis à l’homme de se verticaliser. Voici :https://arigah.com/. Vivre debout. le bourgeons du système endocrinien : https://www.plantes-et-sante.fr/articles/gemmotherapie/2199-les-bourgeons-du-systeme-endocrinien. Signé La TROLLE d’AGORA ou le clou dans la chaussure...


      • pierrot pierrot 29 juillet 2021 16:47

        Notre comportement, est pour partie sujet aux hormones sexuelles mais aussi de notre personnalité et de notre milieu culturelle.

        Il serait faux de faire dire à un individu agressif, : ce n’est pas de ma faute, c’est dû à mon taux de testostérone !


        • Clocel Clocel 29 juillet 2021 17:23

          Quand je pense à Fernande...


          • Clark Kent Lampion 29 juillet 2021 17:27

            @Clocel

            Moi c’est plutôt Félicie, ou Léonore, mais j’évite de penser à Lulu, ou alors si, quand je danse un slow avec la femme d’un copain (je pense à une en particulier, là) : j’ai le sens de la loyauté.


          • jocelyne 29 juillet 2021 17:31

            Donc faut d’écouiller d’urgence ? et le mettre dans le pass ?


            • Laconique Laconique 29 juillet 2021 18:40

              During my professional life, I never experienced agressivity from men colleagues, but several times from women. Women between them are very aggressive, more than men.


              • chantecler chantecler 29 juillet 2021 19:42

                @Laconique
                Normal !
                Quand le coq est attirant , les poules s’agitent !
                Je vous laisse traduire en anglais , ça fait plus scientifique !


              • Giordano Bruno - Non vacciné Giordano Bruno - Non vacciné 30 juillet 2021 00:12

                Quelques conseils pour augmenter sa testostérone grappillés sur le net :

                Profitez du soleil (vitamine D)

                Pratiquez le jeune intermittent

                Mangez des aliments riches en zinc.

                Évitez la surcharge pondérale en gras.

                — Évitez l’alcool

                Faites du sport

                Dormez correctement

                Ne fumez pas

                Ayez une vie sans stress


                Si vous voulez baisser votre testostérone, vous pouvez toujours faire le contraire de ces conseils :

                D’abord, enfermez-vous chez vous.

                Ensuite, mangez sans retenue jusqu’à devenir obèse.

                Picolez toute la journée.

                Ne faites pas de sport.

                Dormez peu et de façon anarchique.

                Fumez pour vous tenir éveillé.

                Pour vous stresser, regardez la télé ou regardez-vous dans la glace.


                • troletbuse troletbuse 30 juillet 2021 10:16

                  Ben alors je comprends que Le Poudré soit agressif avec tous les testostérones des autres qu’il se prend. Tout s"explique  smiley


                  • June June 30 juillet 2021 20:02

                    @troletbuse
                    La gifle qu’il a pris n’est que le début... il paraitrait qu’il soit menacé par Al Qaida. Là ça craint. D’où peut être sa fuite vers la Polynésie


                  • troletbuse troletbuse 30 juillet 2021 20:18

                    @June
                    Al Qaida, c’est quoi ?
                    Des services secrets qui vont tuer des quidams
                    C’est pas les BR.


                  • Abolab 30 juillet 2021 11:27

                    Consommer des produits alimentaires d’origine animale augmente la testostérone. Mais cela est manifestement  également associé avec des risques d’infertilité chez les hommes. De même que consommer des produits animaux chez les jeunes filles est associé à une puberté sexuelle précoce, ce qui augmente les risques d’agression sexuelle des enfants. Des enfants-femmes et des hommes agressifs et infertiles, voilà la direction politique agricole « Egalimentation » promue par le gouvernement en place et les politiciens depuis de nombreuses décennies. Une catastrophe sanitaire bien plus significative que la COVID-19.


                    • Zanini 30 juillet 2021 13:19

                      C’est pas la testostérone le problème mais bien les oestrogènes, qui est un des effets secondaires d’une prise de stéroïde.

                      Les couples les plus violent ne sont pas les hétéros, encore moins les homos mais bien les couples lesbiens.


                      • Abolab 30 juillet 2021 14:54

                        @Zanini

                        « mais bien les oestrogènes, qui est un des effets secondaires d’une prise de... »

                        ...produits laitiers et fortement associés au cancer du sein. A ne pas confondre avec les phytoestrogènes végétaux, comme deux du soja, bénéfiques pour la santé et notamment pour la survie des patientes atteintes de cancer.

                      • JC_Lavau JC_Lavau 4 août 2021 21:52

                        Article de propagande standard, bien conforme aux canons de la propagande féminazie qui nous gouverne dans la presse et au gouvernement.

                        La propagande féminazie au gouvernement.

                        Un antidote à cette intox ?

                        Ingéniérie sociale pour maximiser les guerres civiles. 1/5.

                        et suivants.


                        • Alain Malcolm Alain Malcolm 4 décembre 2023 17:08

                          La testostérone rend agressif avec les agressif(ve)s et bon  au sens moral  avec les bon(ne)s. Faîtes des recherches complètes.


                          • Alain Malcolm Alain Malcolm 4 décembre 2023 17:09

                            On a demandé à ChatGPT pour vous :

                            Il existe des idées préconçues selon lesquelles la testostérone, une hormone sexuelle masculine, est directement liée à des comportements agressifs. Cependant, la relation entre la testostérone et le comportement est complexe, et il est important de nuancer cette perception.

                            La testostérone a effectivement été associée à des comportements plus compétitifs et dominants, qui peuvent être interprétés comme agressifs dans certaines situations. Cependant, cela ne signifie pas automatiquement que la testostérone rend une personne agressive de manière générale.

                            De plus, le comportement humain est influencé par de nombreux autres facteurs tels que l’environnement, l’éducation, les expériences de vie, la génétique, et bien d’autres. Il est donc réducteur de lier directement la testostérone à des comportements moraux ou immoraux envers des individus.

                            Les études sur le lien entre la testostérone et le comportement agressif ont produit des résultats variés, et la recherche dans ce domaine est toujours en cours. Il est essentiel de se méfier des généralisations simplistes et de reconnaître la complexité des interactions entre les hormones et le comportement.

Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page

Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.


FAIRE UN DON



Publicité




Palmarès



Publicité