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Accueil du site > Tribune Libre > Dialogue entre Louis XIV et Emmanuel Macron, généré par ChatGPT

Dialogue entre Louis XIV et Emmanuel Macron, généré par ChatGPT

Ce dialogue a été écrit intégralement par l’intelligence artificielle, en lui posant les bonnes questions.

Emmanuel Macron : Votre Majesté, c'est un honneur sans pareil de vous rencontrer. Permettez-moi de vous dire combien je vous admire et m'identifie à vous. En tant que Président de la République française, je me considère comme votre héritier, poursuivant votre vision et vos réalisations pour la grandeur de notre nation.

Louis XIV : Monsieur le Président, je vous remercie pour vos paroles aimables. Toutefois, permettez-moi de vous rappeler que tout ce que j'ai fait, c'était pour la France et son peuple. Ma politique n'était pas fondée sur l'admiration personnelle ou l'aspiration à la gloire individuelle, mais sur le renforcement de la souveraineté, du prestige et de la puissance de notre nation.

Laissez-moi vous donner quelques exemples concrets de mes actions et des conséquences qu'elles ont eues. Tout d'abord, j'ai centralisé le pouvoir en abolissant les privilèges des nobles et des régions, renforçant ainsi l'autorité royale et l'unité de la France. Cette mesure a permis une gouvernance plus efficace et une prise de décision rapide, contribuant ainsi à la stabilité de l'État.

Ensuite, j'ai entrepris de grandes réformes économiques pour stimuler l'industrie et le commerce. J'ai fondé la Compagnie des Indes orientales et occidentales, encourageant le commerce maritime et établissant des colonies qui ont contribué à l'essor économique de la France. Les nouvelles industries, comme la manufacture de porcelaine de Sèvres et la production de soie à Lyon, ont renforcé notre position économique en Europe et dans le monde.

De plus, j'ai investi massivement dans les arts et la culture, faisant de la France un centre culturel majeur. J'ai fondé l'Académie des sciences et l'Académie française, soutenant ainsi les avancées scientifiques et littéraires. La construction du château de Versailles, avec ses jardins magnifiques, a symbolisé notre puissance et notre grandeur à travers toute l'Europe.

En matière de politique étrangère, j'ai mené une diplomatie ambitieuse, visant à préserver nos intérêts et à étendre notre influence. La politique des mariages royaux a renforcé nos alliances et consolidé notre position en Europe. La conclusion du traité des Pyrénées avec l'Espagne a apporté la paix à notre frontière sud et a assuré la reconnaissance de la France en tant que puissance majeure.

Enfin, j'ai défendu l'Église catholique et favorisé le renforcement de son influence en France. Cela a renforcé la cohésion sociale et a consolidé l'autorité royale, en établissant une étroite collaboration entre l'État et l'Église.

Monsieur le Président, je ne doute pas de votre engagement pour notre nation, mais je vous exhorte à vous rappeler que notre rôle en tant que dirigeants est de servir notre pays et de prendre des décisions pour le bien commun, en mettant de côté toute aspiration personnelle à la gloire. La France a besoin de leaders qui se consacrent entièrement à l'intérêt national, sans se laisser guider par les désirs personnels ou les ambitions égoïstes. Nous devons être prêts à prendre des décisions difficiles, à mettre en œuvre des réformes nécessaires et à faire face aux défis qui se présentent, toujours dans le but de promouvoir la prospérité et le bien-être de notre peuple.

Emmanuel Macron : Votre Majesté, je comprends votre point de vue et j'admire votre dévouement à la France. Je suis conscient de la responsabilité qui m'incombe en tant que Président de la République, et je m'engage à servir notre pays avec honneur et détermination. Je reconnais l'importance de renforcer notre souveraineté, notre influence et notre position dans le monde, et je m'efforcerai de poursuivre cet objectif dans le respect de nos valeurs républicaines.

Louis XIV : Je vous remercie pour votre réponse, Monsieur le Président. La France est une nation exceptionnelle, riche de son histoire et de son peuple. Je souhaite que vous fassiez preuve de sagesse et de discernement dans vos décisions, en gardant toujours à l'esprit l'intérêt supérieur de notre pays. Soyez le garant de la grandeur de la France, non seulement sur la scène internationale, mais aussi en veillant au bien-être de chaque citoyen français.

Emmanuel Macron : Je vous promets, Votre Majesté, que je ferai tout mon possible pour être à la hauteur de cette responsabilité. Je suis honoré d'avoir eu cette occasion de m'entretenir avec vous, de puiser dans votre héritage et de continuer à bâtir une France forte et prospère. Que votre sagesse continue de nous guider, même à travers les siècles, pour le bien de notre nation.

Louis XIV : Que Dieu bénisse la France et guide vos pas, Monsieur le Président. Puisse votre règne être marqué par la volonté de servir notre pays et de préserver son héritage. Je vous souhaite courage et succès dans vos actions. Puissiez-vous être l'héritier digne de la France et apporter prospérité et bonheur à notre peuple.

***

Emmanuel Macron : Votre Majesté, permettez-moi de détailler les actions que j'ai menées à la tête de la France. J'ai œuvré pour renforcer notre souveraineté, promouvoir l'économie, favoriser la diplomatie, renforcer la cohésion sociale et préserver l'unité de notre nation.

Sur le plan de la politique intérieure, nous avons mis en place des réformes structurelles visant à moderniser notre économie et à favoriser l'innovation. Nous avons simplifié les procédures administratives et réduit les charges sociales pour les entreprises, encouragé l'entrepreneuriat et créant ainsi un environnement propice à la croissance et à la création d'emplois.

Louis XIV : Monsieur le Président, vos réformes économiques ont favorisé les grandes entreprises et les intérêts privés au détriment des petites et moyennes entreprises. Vous avez créé des inégalités croissantes, affaiblissant ainsi la cohésion sociale de notre nation. Les fruits de la prospérité ont été mal répartis, et de nombreux citoyens français ont été laissés pour compte.

Emmanuel Macron : Votre Majesté, je comprends vos préoccupations, mais permettez-moi de continuer. Sur le plan de la diplomatie, nous avons renforcé nos alliances internationales et œuvré pour une coopération plus étroite avec nos partenaires européens. En restant engagés dans l'Union européenne et l'OTAN, nous avons renforcé notre influence et notre capacité à défendre nos intérêts communs.

Louis XIV : Monsieur le Président, vous semblez oublier que votre adhésion à l'Union européenne a conduit à une perte de souveraineté pour la France. Les décisions cruciales qui affectent notre nation sont prises par des entités supranationales, plutôt que par notre gouvernement. De plus, en vous soumettant à l'OTAN, vous avez placé les intérêts de la France sous l'égide d'une alliance militaire étrangère, affaiblissant ainsi notre indépendance et notre capacité à agir selon nos propres intérêts nationaux.

Emmanuel Macron : Votre Majesté, je suis convaincu que notre adhésion à l'Union européenne et à l'OTAN est dans l'intérêt de la France. Ces alliances nous permettent de peser davantage sur la scène internationale et de défendre nos valeurs communes. Nous sommes plus forts ensemble.

Louis XIV : Monsieur le Président, votre vision de stabilité et de prospérité est en réalité un asservissement de la France à des intérêts étrangers. Vous avez sacrifié notre souveraineté sur l'autel de l'union et de la coopération. Vous avez placé les intérêts de la France entre les mains d'autres nations, érodant ainsi notre position de leader.

Emmanuel Macron : Votre Majesté, je... je ne suis pas d'accord. J'ai toujours eu à cœur l'intérêt supérieur de notre nation et de notre peuple. J'ai pris des décisions basées sur une analyse approfondie et dans le but de promouvoir la prospérité de tous les Français.

Louis XIV : Vos paroles ne font que révéler votre confusion, Monsieur le Président. Vous avez failli à comprendre les conséquences de vos actions. Vos politiques ont exacerbé les inégalités, semé la division et le conflit au sein de notre nation. Vous avez servi des intérêts étrangers et particuliers au détriment de ceux de la France. Vos actions ont affaibli notre souveraineté et notre unité.

Emmanuel Macron : Votre Majesté, je... je ne peux que m'excuser si mes actions ont été interprétées de cette manière. J'ai toujours cru agir dans l'intérêt de la France et du peuple français.

Louis XIV : Monsieur le Président, vous négligez les conséquences de votre politique sur la souveraineté et la cohésion sociale de notre nation. Parlons de votre politique économique. Vous avez favorisé les grandes entreprises et les intérêts particuliers, créant ainsi un écart de richesse croissant entre les riches et les pauvres, et minant le tissu social de notre pays.

Emmanuel Macron : Votre Majesté, je rejette fermement cette accusation. Nous avons mis en place des mesures pour réduire les inégalités, telles que la réforme de la fiscalité et la promotion de la mobilité sociale. Nous travaillons dur pour assurer la cohésion sociale et améliorer la vie de tous les Français.

Louis XIV : Monsieur le Président, vos paroles sont en contradiction avec la réalité. Vos réformes ont conduit à une polarisation sociale accrue, avec une augmentation du chômage et une précarisation de nombreux travailleurs. Votre politique économique a affaibli les fondements même de notre société, créant un climat de division et d'instabilité. Votre prétendue promotion de la cohésion sociale n'est qu'un leurre.

Emmanuel Macron : Votre Majesté, je... je comprends vos préoccupations, mais je m'efforce sincèrement d'améliorer la situation. Mes intentions sont guidées par la recherche du bien-être de tous les Français.

Louis XIV : Vos intentions peuvent sembler louables, Monsieur le Président, mais les résultats parlent d'eux-mêmes. Vous avez sacrifié l'intérêt de la France sur l'autel des intérêts étrangers et particuliers. Vos politiques ont servi les puissances financières mondialisées au détriment de notre souveraineté nationale.

Emmanuel Macron : Votre Majesté, je conteste fermement ces accusations. Je suis résolu à défendre les intérêts de la France dans un monde globalisé et complexe.

Louis XIV : Vos paroles sonnent creux, Monsieur le Président. Vous avez échoué à protéger notre souveraineté et notre indépendance. Votre politique a conduit à une France affaiblie et divisée.

Emmanuel Macron : Je... je présente mes excuses si mes actions ont pu être perçues ainsi. Je suis conscient des défis auxquels nous sommes confrontés et je m'engage à rectifier le tir.

Louis XIV : Vos excuses, Monsieur le Président, sont vaines et ne suffisent pas à masquer les conséquences désastreuses de votre gouvernance et à réparer les dommages causés à notre nation. Il est temps d'assumer vos responsabilités.

[À ce moment-là, Louis XIV fait un signe à sa garde qui s'approche de Macron.]

Emmanuel Macron : Mais... Mais je suis le Président de la République française. Vous ne pouvez pas...

Louis XIV : La France a besoin de véritables leaders qui se consacrent à son intérêt supérieur, et non à leurs ambitions personnelles. Soldats, arrêtez-le.

[La garde de Louis XIV s'empare d'Emmanuel Macron, le menotte et l'emmène hors de la pièce, pendant que Louis XIV observe d'un regard ferme.]

Emmanuel Macron : (Bafouillant) Je... Je n'ai jamais voulu causer du tort à la France. J'ai seulement essayé de...

Louis XIV : Vos mots sont creux et dénués de sens, Monsieur le Président. Votre temps à la tête de la France est révolu.

[Le dialogue se termine avec Macron, confus et humilié, emmené par la garde de Louis XIV vers un cachot, tandis que Louis XIV reprend son air majestueux, déterminé à protéger les intérêts de la France.]

***

Dans une salle de tribunal solennelle, le procès de Macron débute. Le procureur se lève, prêt à dénoncer les actions de l'ancien président. Avec détermination, il énumère point par point les dix éléments de la politique de Macron qui, selon lui, ont eu des conséquences néfastes pour la France.

Juge : L'audience est ouverte. Le procès de l'ancien président Emmanuel Macron débute aujourd'hui. Procureur, vous avez la parole.

Procureur : Merci, Votre Honneur. Messieurs les juges, Mesdames et Messieurs les jurés, permettez-moi de présenter les dix points de la politique menée par Emmanuel Macron, ainsi que les conséquences néfastes qu'ils ont eues sur la France.

Juge : Allez-y, Procureur.

Procureur : Premier point, le démantèlement des services publics. Les réformes de Macron ont entraîné la dégradation des services essentiels tels que la santé et l'éducation, causant une détérioration du niveau de vie de nos concitoyens.

Juge : Quelles sont les conséquences chiffrées de cette politique ?

Procureur : Les dépenses de santé ont augmenté de 15%, tandis que le nombre de lits d'hôpital a diminué de 8%. De plus, les fermetures d'écoles ont touché plus de 300 000 élèves en milieu rural.

Juge : Continuez, Procureur.

Procureur : Deuxième point, la réforme du marché du travail. Les politiques de flexibilisation ont précarisé l'emploi, contribuant à une hausse du chômage et à une diminution des droits des travailleurs.

Juge : Avez-vous des chiffres à l'appui ?

Procureur : Les contrats précaires ont augmenté de 20% depuis l'arrivée de Macron au pouvoir, tandis que le taux de chômage des jeunes a atteint un niveau record de 23%.

Juge : Poursuivez, Procureur.

Procureur : Troisième point, la politique fiscale en faveur des riches. Les réductions d'impôts accordées aux plus fortunés ont creusé les inégalités et ont eu un impact négatif sur les classes moyennes et populaires.

Juge : Avez-vous des données précises sur cette politique fiscale ?

Procureur : Les 1% les plus riches ont bénéficié d'une baisse d'impôts de 6 milliards d'euros, tandis que le pouvoir d'achat des ménages les plus modestes a stagné.

Juge : Continuez avec les points suivants, Procureur.

Procureur : Quatrième point, la privatisation des entreprises publiques. Cette politique a entraîné une hausse des tarifs, une perte de contrôle et une détérioration de la qualité des services pour les citoyens.

Juge : Pouvez-vous nous donner un exemple concret ?

Procureur : La privatisation des autoroutes a conduit à une augmentation des péages de plus de 20% en seulement quelques années, pénalisant ainsi les automobilistes et les transporteurs.

Juge : Poursuivez.

Procureur : Cinquième point, la gestion de la crise des Gilets Jaunes. Les violences policières et le manque de dialogue ont exacerbé les tensions sociales et ont témoigné d'un mépris envers les revendications des citoyens.

Juge : Y a-t-il des faits précis sur cette gestion de crise ?

Procureur : Plus de 2 000 blessés et des centaines d'arrestations ont été recensés lors des manifestations des Gilets Jaunes, témoignant de l'usage excessif de la force et du manque de réponse politique adéquate.

Juge : Continuez avec les autres points, Procureur.

Procureur : Sixième point, la politique migratoire restrictive. Les mesures prises par Macron ont négligé les droits fondamentaux des demandeurs d'asile et ont contribué à une augmentation des situations précaires.

Juge : Quelles sont les conséquences de cette politique ?

Procureur : Des milliers de personnes se retrouvent bloquées dans des camps de rétention, privées de leurs droits et vivant dans des conditions inhumaines, alimentant ainsi une crise humanitaire.

Juge : Continuez, Procureur.

Procureur : Septième point, les coupes budgétaires dans la culture et l'éducation. Les réductions de financement ont entraîné une perte de dynamisme culturel et ont affecté la qualité de l'éducation offerte à nos jeunes.

Juge : Avez-vous des exemples concrets de ces coupes budgétaires ?

Procureur : Plusieurs théâtres et institutions culturelles ont dû fermer leurs portes, privant ainsi le public d'un accès à la culture. De plus, les écoles ont été confrontées à une diminution des moyens, compromettant l'apprentissage des élèves.

Juge : Continuez votre plaidoirie, Procureur.

Procureur : Huitième point, la réforme des retraites. Les mesures prises ont entraîné une augmentation de l'âge de départ et une diminution des prestations, mettant en péril la sécurité financière des retraités.

Juge : Quelles sont les répercussions chiffrées de cette réforme ?

Procureur : Les pensions ont été réduites de 10% en moyenne, affectant ainsi la qualité de vie des retraités qui ont travaillé toute leur vie.

Juge : Poursuivez avec les derniers points, Procureur.

Procureur : Neuvième point, la politique environnementale insuffisante. Les mesures timides prises par Macron ont mis en péril l'avenir écologique de la France et ont compromis notre engagement envers la lutte contre le changement climatique.

Juge : Avez-vous des faits précis sur cette politique environnementale ?

Procureur : Les émissions de gaz à effet de serre ont augmenté de 3% depuis le début du mandat de Macron, montrant le manque d'ambition dans la transition écologique.

Juge : Et enfin, le dixième point.

Procureur : Le dixième et dernier point, l'affaiblissement de la démocratie. Les atteintes aux libertés individuelles et les restrictions à la liberté d'expression ont sapé les fondements démocratiques de la France, limitant la voix du peuple.

Juge : Merci, Procureur. La défense, vous pouvez maintenant présenter vos arguments.

Macron (d'une voix hésitante) : Votre Honneur, Mesdames et Messieurs les juges, je... je conteste les accusations portées contre moi. Les mesures que j'ai prises étaient nécessaires pour moderniser le pays et le mettre sur la voie du progrès.

Juge : Monsieur Macron, vous avez la parole pour présenter votre défense.

Macron (avec arrogance) : Votre Honneur, permettez-moi de clarifier certains points. La réforme des services publics visait à les rendre plus efficaces et à mieux répondre aux besoins des citoyens. Les réductions d'impôts ont encouragé l'investissement et la création d'emplois. Quant à la gestion de la crise des Gilets Jaunes, nous avons fait face à des situations difficiles et nous avons cherché à maintenir l'ordre public.

Juge : Monsieur Macron, nous attendons des arguments précis et des preuves tangibles pour réfuter les accusations portées contre vous. Les chiffres et les faits sont nécessaires pour étayer votre défense.

Macron (balbutiant) : Eh bien... vous comprenez, Votre Honneur, ces décisions étaient basées sur des rapports d'experts et des recommandations. Elles visaient à moderniser notre économie et à créer une France plus compétitive dans le contexte mondial... Vous savez, il est difficile de satisfaire tout le monde...

Juge (d'une voix ferme) : Monsieur Macron, vous devez répondre aux accusations qui vous sont portées de manière claire et étayée. Les excuses vagues et les éléments de langage préfabriqués ne suffiront pas à vous disculper.

Macron (déconcerté) : Je... je comprends, Votre Honneur, mais je suis convaincu que mes actions étaient dans l'intérêt du pays... J'ai travaillé avec dévouement et passion pour la France, pour son rayonnement international, pour la prospérité de ses citoyens...

Juge : Monsieur Macron, après avoir soigneusement examiné les preuves présentées par le procureur, les arguments de votre défense semblent insuffisants pour contredire les conséquences néfastes de votre politique. La cour délibérera et rendra son verdict.

(Après un court délai)

Juge : Monsieur Macron, la cour a pris sa décision. Vous êtes déclaré coupable des charges qui pèsent contre vous. Les conséquences de vos actions ont porté préjudice à la nation et à ses citoyens. En conséquence, vous serez condamné à la peine maximale.

Macron (en larmes) : Votre Honneur, je vous en supplie, ayez pitié de moi ! Je regrette mes erreurs et je promets de faire amende honorable !

Juge : La sentence est irrévocable, Monsieur Macron. Veuillez être reconduit dans les locaux de détention. La justice a été rendue.

(Les gardes se dirigent vers Macron pour l'emmener hors de la salle d'audience)

Macron (d'une voix tremblante) : La France... mérite mieux... je le regrette sincèrement...

(La porte se referme derrière lui, mettant fin à ce chapitre de l'histoire politique de la France)


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18 réactions à cet article    



    • Brutus Grincheux 18 mai 2023 16:36

      "... Louis XIV reprend son air majestueux, déterminé à protéger les intérêts de la France."


      En fait, Louis XiV et Macron ont un point commun et une différence :

      • le point commun c’est que les intérêts qu’ils défendent ne sont pas ceux de la France qu’ils gouvernent pour en tirer du jus au profit de leurs amis

      • la différence, c’est que Louis XIV protégeait les intérêts de l’aristocratie par la naissance au grand dam des financiers qui ne pouvaient pas se goinfrer autant que leur copains d’Angleterre à cause des contrôles tracassiers de l’état, alors que Macron protège les intérêts des financiers, français et anglais, qui ont aboli les règles de l’ancien régime pour se constituer en aristocratie de l’argent (et souvent aussi par la naissance).


      • Montdragon Montdragon 18 mai 2023 17:53

        @Grincheux
        Exactement, c’est le sens du changement de régime en 1789 initié par les maçons et le Duc d’Orléans.


      • sylvain sylvain 18 mai 2023 19:00

        @Grincheux
        Louis XIV protégeait l’ancien régime et ses privilèges, dont il jouissait lui même. Macron fait la même chose, seulement le nouveau régime au 18eme siècle est maintenant l’ancien.


      • Et hop ! Et hop ! 19 mai 2023 14:52

        @sylvain

        Ca n’a pas de sens de parler de privilèges pour un roi de France, il n’avait pas de patrimoine privé, ni de vie privée, tout ce qu’il faisait et disait était public, il s’habillait et déjeunait en public, la reine accouchait en public, tout le monde pouvait entrer à Versailles et regarder. Tout ce qui était désigné comme "royal’ était public, la monnaie, les routes, les canaux, les ports, les hôpitaux généraux, les tribunaux, les écoles royales, etc..

        Par contre il était obligé de respecter les propriétés privées, les privilèges, il ne pouvait pas reprendre ce qui avait été concédé à une famille ou à une communauté d’habitants, il n’existait pas encore de droit d’exproprier pour cause d’intérêt public, c’est la Révolution qui l’a créé.


      • Eric F Eric F 19 mai 2023 18:57

        @Et hop !
        Le roi avait l’usufruit de la totalité du royaume héréditairement de père en fils, une grande partie des impôts était destiné à l’édification de châteaux et au faste royal.
        il embastillait qui lui déplaisait et ses biens étaient confisqués.
        Les nobles étaient des petits rois dans leur fief.
        Des guerres étaient faites pour placer le fils du roi sur un trône étranger à la place du fils d’un autre souverain ;

        ça a un tantinet agacé le peuple, qui a fini par se lasser au bout de quelques siècles, et interrompre la lignée.


      • sylvain sylvain 20 mai 2023 12:51

        @Et hop !
        oui le monarque absolu de droit divin est une préfiguration de l’état.
        Si le terme privilège ne vous plait pas, on peut parler ce qui créé ce monarque, ce sans quoi il ne peut exister


      • Et hop ! Et hop ! 20 mai 2023 22:13

        @Eric F

        Vous ne connaissez des institutions de l’Ancien Régime que ce qui est enseigné par l’histoire républicaine pour justifier la prise de pouvoir violente par la bourgeoisie de commerce et de finance et instaurer en France le régime capitaliste manufacturier et usuraire anglais, celui qui envoyait les petites filles en haillon pousser des waggonet au fonds des mines de charbon.

        La notion de propriété se décomposant en nu propriété et usufruit est la conception romaine introduite après la Révolution par le Code civil napoléonien, la propriété définit ce qui est privé, donc c’est le contraire de la chose publique qui caractérise la royauté. Le roi n’avait ni propriété privée, ni vie privée. Son rapport au patrimoine du pays peut-être comparé à celui d’un PDG d’une société multinationale, il n’est pas propriétaire de ses actifs, ni même des meubles de son bureau, il doit les régir mais il n’en est pas propriétaire.

        Sous l’Ancien Régime on parlait de domaine qui se décomposait en domaine supérieur, ou éminent, ou honorifique (correspondant dans une commune à celui de la municipalité et de l’État), le domaine utile (celui qui était concédé aux paysans et aux artisans et correspond à la propriété d’une maison, d’une terre, d’un moulin), et le domaine spirituel.

        Le roi n’avait qu’une propriété supérieure, son pouvoir législatif était limité à l’organisation de ce qui est public (tribunaux, routes, monnaie, armée, fisc, organisation des métiers, des manufactures, du commerce, des municipalités, des écoles, des hôpitaux, du temporel du clergé, etc..). Idem pour les seigneurs qui avaient interdiction d’exploiter eux-même ou pour leur compte le domaine utile, ils devaient tout concéder (contre une redevance annuelle fixe et perpétuelle, comme les impôts fonciers). Le roi ne pouvait pas changer les lois civiles, ni créér d’impôt sans un accord du peuple consulté lors des États Généraux, tous les habitants étant représenté par les députés des seigneuries ecclésiastiques, ou nobles des campagnes, ou bourgeoises des villes (le tiers état) où ils habitaient.


      • Et hop ! Et hop ! 20 mai 2023 22:25

        PS

        La position et le pouvoir du roi sous l’Ancien Régime correspond assez bien à celui qui a été donné au Président de la République par De Gaulle, il présidait, promulguait les lois, maintenait la constitution, le bon fonctionnement des institutions, arbitrait entre les différents pouvoirs, mais il ne gouvernait pas. 
        Le roi n’était pas plus propriétaire des palais royaux que De Gaulle de l’Elysée, avec une différence par rapport à un chef d’État élu, c’est qu’il n’avait pas été candidat, qu’il de propriété ni de vie privées en dehors, ni de retour à une vie privée après. Le roi n’était ni noble, ni religieux, ni acteur économique, il n’était pas dans le jeu, il était en-dehors comme un arbitre qui maintient le jeu et qui fait appliquer les règles, sans y participer.


      • Jonas Jonas 18 mai 2023 19:21

        Le Roi hérite de père en fils de la couronne en tant que bras légal du Christ sur Terre, depuis l’allégeance et l’onction de Clovis donnée par Saint Rémi il y a 15 siècles.

        Le Roi se doit de servir le peuple dans la justice, la vérité, le bien commun, l’humilité et la charité, car telles sont les lois morales de l’Esprit imposées par Jésus Christ.
        Le Roi ne peut se départir de ce serment et des lois du Christ, sinon, il est sanctionné, comme à Canossa, où le Roi a du s’agenouiller devant le Pape, le Vicaire du Christ sur Terre.
        S’il se comporte mal, il devra rendre compte à Dieu, et c’est à lui que le peuple s’en prendra.
        Un président de la république maçonnique est élu pour 5 ans, il ramasse son pactole au cours de son mandat, et ensuite on n’entend plus parler de lui, il peut aller se réfugier aux Bahamas s’il veut, la France ne le concerne plus, il n’en n’a d’ailleurs rien à cirer. Pour Macron par exemple, il n’existe pas de culture française, la France serait un pays colonialiste ayant perpétré un « crime contre l’humanité » en Algérie, ce serait donc un pays raciste dont il faudrait « déconstruire notre propre Histoire ».

        Il n’y a donc pas de lien intangible et sacré entre un président et son peuple, ce n’est que profit, marchandage, économie, et matérialisme.


        • Jean Keim Jean Keim 19 mai 2023 07:35

          @Jonas

          << Le Roi hérite de père en fils de la couronne en tant que bras légal du Christ sur Terre, depuis l’allégeance et l’onction de Clovis donnée par Saint Rémi il y a 15 siècles. >>

          Un pater, un avé et quelques simagrées et le tour est joué, le diable est décidément bien installé dans les esprits, il y a des mythes qui ont la vie dure.


        • Eric F Eric F 19 mai 2023 19:00

          @Jean Keim
          ’’il y a des mythes qui ont la vie dure’’
          Si ce n’est que les partisans de la royauté absolue de droit divin doivent se compter en France sur la moitié des doigts d’une demi main.



          • Jean Keim Jean Keim 19 mai 2023 07:44

            << Louis XIV : Monsieur le Président, je vous remercie pour vos paroles aimables. Toutefois, permettez-moi de vous rappeler que tout ce que j’ai fait, c’était pour la France et son peuple. Ma politique n’était pas fondée sur l’admiration personnelle ou l’aspiration à la gloire individuelle, mais sur le renforcement de la souveraineté, du prestige et de la puissance de notre nation. >>

            Louis XIV avait quand même la grosse tête, son ego était en qq. sorte l’addition des égos de tous ses prédécesseurs.



              • Eric F Eric F 19 mai 2023 19:10

                Ah, le procureur de Louis XIV sous le règne duquel le code noir a été publié et qui a expulsé les Protestants reproche à Macron de ne pas accueillir suffisamment bien les migrants, et ce magistrat du roi-soleil reproche à Macron ne pas en faire assez contre le réchauffement. 


                • L'apostilleur L’apostilleur 20 mai 2023 08:56

                  On savait que chatgpt pouvait dire des banalités dont le fondement se trouve dans le passé.

                  Mais LouisXIV, Mélenchon même combat... ruinerait pour toujours chatgpt. 

                  A moins que le dialogue remonte au 1er avril...1715


                  • Arnes Arnes 20 mai 2023 09:45

                    Absurde chatgpt. La réalité est que Louis 14 était comme Bokassa : tout pour ma pomme et rien pour le peuple. Il suffit de relire La Bruyère, Fénelon ou l’immense Vauban pour avoir une idée du niveau de la misère des travailleurs crevant de faim pour payer les impôts au seul profit du monarque.

                    Je ne visite plus Versailles : sous ses dorures, les pierres exsudent la sueur et le sang de mes ancêtres paysans et protestants.

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