Christoff,
Ce que vous dites sur les journalistes est très injuste. Seule une petite minorité d’entre eux gagnent convenablement leur vie. Les autre tirent le diable par la queue. Ils vivotent de piges, de petits articles, de petits boulots dans une galère perpétuelle. Si on doit faire une critique de la presse c’est qu’elle est soumise à des impératifs de rendement financier et à des influences politiques. Ce qui est imprimé au final devient le convenu, le « politiquement correct », et n’a d’indépendance et de sens critique que l’apparence.