Quand une femme aussi posée que Carla del Ponte, dont en plus le rôle était de condamner au TPI les serbes et non pas les albanais, porte de telles accusations on peut légitimement considérer qu’elles ne sont pas émises à la légère et ne sont pas un ragot du net. Je vous rappelle qu’elle avait quand-même le rôle de procureur au TPI.