@Colre,
" C’est sans doute la raison du terrible rejet social et familial vécus
par ces odieuses filles-mères qui avaient abusé des faibles hommes
d’antan avant de les abandonner à leur misérable sort… " Des femmes dont le mari n’est revenu de guerre ont subi le même rejet, et dès qu’elles ont quitté leur village, c’est la prostitution ou le clergé qui les hébergeait.
Mais à l’origine, mon article ne parlait pas de la dernière et de la première guerre mondiale, mais de la source de division dont se servent les organes de communication médiatiques et individuels pour faire leur marché de chair fraiche...