C’est fou Neris, ce que tu racontes, j’ai l’impression d’entendre des faits qui me rappellent l’époque où j’étais responsable d’un service jeunesse. Il était bien souvent difficile de justifier certains refus car pour ertains jeunes le REFUS était manifestement un moyen de dénégation de leur part. Ce qui était positif, j’avais axé tout mon management à l’époque sur le dialogue, donc en discutant, nous arrivons à nos fins, mais après une perte de temps considérable. Bien souvent ils me courcicuitaient où mes responsables d’antennes de quartier et se rendaient directement à la direction générale où chez l’élu(e) du secteur et leur mettaient une pression si forte qu’après nous étions obligés suite à un appel téléphonique de céder. Si ce n’est pas de la violence gratuite, je ne sais ce que c’est. A ce niveau, elle est encouragée et ne peut que se développer et qu’apporte t-on comme enseignement aux plus jeunes ? Que tout ce que l’on désire s’obtient par la violence (racket et j’en passe...)