@ Canine,
Je suis d’accord avec vous. Nous traînons depuis la nuit des temps notre barbarie avec nous. Ce qui la réveille : notre je-m’en-foutisme, le manque de barrière. C’est aussi simple que cela. Nous récoltons les fruits de notre laisser-aller (merci mai68). On traite de vieux cons les instituteurs et leurs leçons de morale d’antan mais elles encraient dans les jeunes cerveaux quelques règles basiques. Interdit d’interdire, quelle connerie, on voit ce que cela donne aujourd’hui, maintenant faire marche arrière est impossible, à moins de juguler la violence par la dictature. On a tout gagné.
Ce n’est qu’un début, la violence va devenir monnaie courrante et d’ici quelques temps, vous verrez qu’il sera quasiment impossible de se balader sans avoir une arme dans la poche, à moins, naturellement d’aimer tendre l’autre joue, ou de baisser son froc.