Le devoir du parent ne se limite pas à l’élevage de l’enfant, à son éducation. Il englobe le souci de ce qu’il va faire, de ce qu’il va être... avez vous écrit.
C’est la promiscuité et la complexité du labyrinte urbain qui engendre le déséquilibre social et mental. Les campagnes abritées et les tribus encore reculées, mais ouvertes, réconcilient avec la vie et l’envie de poursuivre la partie. Les paradoxes sont légion dans ce domaine, l’idée de partir pour une ile paradisiaque déserte est freinée par la montée des eaux, nos états d’ames sont indépendants de ceux de nos enfants, les tribus les plus modernes peuvent vivre quasiment en autarcie, les agro-carburants provoquent la faim dans le monde, et peu de bonnes nouvelles dans le flux des infos...Les choix sont contraints...