Je suis d’accord avec le fond du présent article.
Les postures des ’’pipole’’ millionnaires du spectacle, du sport et de la communication, fiscalement réfugiés dans des paradis fiscaux, à vouloir donner des leçons de démocratie et de civisme sont odieuses. Toujours orientées dans le sens du mondialisme et du multiculturalisme et stigmatisant ce qui relève de l’intérêt national.
Le couplet du ’’retour de l’infâme’’ est particulièrement spécieux, l’article en montre certains aspects. Le fascisme est un régime autocratique et belliciste, or comment qualifier le pouvoir de l’actuel président, qui s’est même mis à dos les membres de son propre parti en imposant des décisions solitaires, au point que nul ne se réclame plus de lui.
La gestion de la crise sanitaire a été dictatoriale, en transposant dans nos pays ce qui avait été instauré par la dictature du régime chinois, qu’il s’agisse d’enfermement, contrainte et contrôle social.
La volte face présidentielle concernant la guerre en Ukraine, pour devenir le leader du camp des faucons et envisager l’envoi de troupe rappelle les coups de menton mussoliniens. Paradoxalement ce sont les partis qualifiés d’« extrême » qui font preuve de modération sur ce conflit, prônant un soutien pour éviter l’effondrement ukrainien, mais dans l’objectif de parvenir à une solution négociée.
Ce matin sur BFM, l’invité était le premier ministre pour avoir le dernier mot dans la campagne électorale, les média constituent bien, dans leur majorité, une courroie de transmission du libéralisme mondialisé et de l’atlantisme, dont Macron est le fondé de pouvoir.
Le vote de dimanche ne sera pas forcément rationnel, il sera en grande partie défoulatoire, une forme de giletjaunisme dans l’urne.