@Homme libre
Tout cela est bien beau, mais il y a un paramètre important aujourd’hui c’est que l’humain est à des années lumières de la résistance de l’humain d’hier, si tant est qu’il fusse présent à ces époques. Aujourd’hui, l’humain est plus fragile, par son mode de vie, dépendant de beaucoup plus de choses, il s’est éloigné d’un comportement de survie primaire qui était vital.
Je dirais qu’hier l’humain largement moins nombreux qu’aujourd’hui n’ayant en plus aucune attache matérielle, changeait « aisément » d’endroit pour survivre dans des territoires vierges.
Une simple fissure dans le bitume d’un autoroute Parisien, créé une panique, un mécontentement généralisé, une catastrophe. Alors un changement climatique, plus vicieux, plus lent, irréversible en plus, imaginons un instant. Sans compter le reste, avec l’inexorable épuisement des ressources.
Il y eu le temps des Dinosaures, il y a celui de l’humain, il en restera certains, c’est sûr, je reste assez convaincu que les « sociétés industrialisées » sont beaucoup plus sensibles que celles qui ne le sont pas.