Peut-être que la masse végétale et particulièrement forestière d’alors, faisait que le cycle de l’eau n’était pas en panne d’évapotranspiration comme aujourd’hui et que l’hiver, des précipitations suffisamment importantes reconstituaient les épaisseurs de la banquise et des glaciers, ainsi que les débits des cours d’eau et les niveaux des nappes phréatiques…
Je suis sidéré de constater qu’au 21ème siècle, on puisse encore parler de climat, présent, passé ou futur, en laissant de côté l’évapotranspiration et l’action du règne végétal et du vivant en général sur le climat…
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