Ces commémorations étaient du révisionnisme : absence du pays qui a le plus contribué à la victoire sur l’Allemagne nazie, et présence de Zélensky, entouré dès son élection par les néonazis des groupes paramilitaires type Azov, au nom d’une Ukraine dont l’ouest a commis son lot de massacres aux côtés des SS.
C’était en fait une auto-célébration des anglo-saxons et de l’Otan, avec Macron en chef du protocole.