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Étirév 4 avril 10:39

Dans des temps reculés, lorsque les émigrées de l’Inde se répandirent dans toute l’Asie, elles firent un séjour dans la partie de l’Arabie qui touche au Golfe Persique et y laissèrent des souvenirs dont l’histoire a gardé la tradition. Aussi, longtemps avant l’Islamisme la Mecque fut une de leurs stations. Sur les collines voisines de la Kaabah, se trouvait l’habitation des Déesses Icâf et Nayila. C’est dans la Kaaba qu’avaient lieu les réunions secrètes des femmes, c’est là qu’elles célébraient leurs « Mystères ». Primitivement on disait Qoubbah, mot qui signifiait, dit le Coran, lieu d’Abraham. Une fois par an, les femmes y recevaient les hommes pour la fécondation annuelle qui avait lieu au printemps : d’où la Pâque, fête de l’œuf.
En hébreu, le mot Pâque veut dire passage. La fête du Pessa’h (de la Pâque) se célébrait à la première pleine lune de printemps. C’était le premier mois lunaire de l’année juive, le temps que la Nature assigne pour les fécondations. Les relations sexuelles étaient réglementées par la religion.
Aussi, suivant l’ancienne Loi qui régnait aussi bien chez les Celtes que chez les Israélites, le mot « AGAPE » désignait les réunions données le 7ème jour. Ce 7ème jour était un temps de repos ; c’était un jour CONSACRÉ, c’est-à-dire donné aux unions.
Cette consécration du 7ème jour laissé aux divertissements, aux agapes et au sacrifice eucharistique, a joué un grand rôle dans le premier culte, puisqu’elle a été imitée et parodiée par toutes les religions.
A propos des festins du vendredi et des noces qui étaient les agapes des Mystères, dans son ouvrage, « La République des Champs Elysées », Charles Joseph de Grave montre comment cette fête religieuse entra dans les mœurs : « Après avoir consacré les six premiers jours à des travaux et des devoirs, les législateurs ont proclamé le septième jour « libre ». « Vrydag », nom du vendredi, signifie « libre jour » (en allemand « Freytag », en anglais « Friday »). Le 7e jour était destiné à la célébration des noces. Sous ce rapport, l’amour présidait aussi à ce jour. C’est de là que le mot Vry a donné naissance au verbe Vryen (en Néerlandais) qui, dans l’usage du peuple moderne, signifie « faire l’amour ». Et on donne aussi le nom de « frayer », Vryen, à « l’amour des poissons ».
Le vendredi s’exprime en latin par le mot « dies Veneris », « jour de Vénus », « jour de la Femme » car « Vénus » à la signification de Femme. Alors, sans doute, Femme Divine. Notons à propos de « dies Veneris », devenu « vendre-di », que « Port-Vendres », cette ville située au pied des Pyrénées orientales, s’appelait autrefois « Portus Veneris » : le port de Vénus.
On a jeté tant de défaveur sur le vendredi, qu’il en est résulté un préjugé singulier contre ce jour, préjugé qui se soutient encore par l’effet d’une tradition sourde, quoiqu’on en ait perdu la raison. Dans l’opinion vulgaire, le vendredi est devenu un jour funeste et de mauvais augure. Et le vendredi, « jour de Vénus », a été remplacé par le dimanche, « jour du Seigneur ». Toujours la substitution des sexes accompagnée du renversement des idées. L’ancienne Loi donnait un jour sur sept à l’union ; la loi masculine fera du dimanche un jour d’abstinence et donnera à la licence masculine six jours sur sept.
Relevons, enfin, que les Templiers, dont l’arrestation eut lieu un vendredi (le 13 octobre 1307), avaient une Divinité féminine représentant l’ancienne Déesse porte lumière, la « Vénus-Lucifer », que leurs ennemis ont ensuite ridiculisé et appelé le « Baphomet », caricature qui la représentait sous la forme d’une femme à tête de bouc.
Dans la Loi morale, formulée par Myriam, surnommée « Ha-Thora » (« La Loi »), le 3ème Commandement disait texto : « Rappelle-toi le jour du repos pour le sanctifier. Six jours tu travailleras et tu feras toute ton œuvre, le jour septième est le repos pour Hevah, ta Déesse. Non tu feras toute, aucune œuvre, toi et ton fils et ta fille, ton esclave et ta servante et ta bête et ton étranger, qui est dans tes portes, car en six jours (Jours solaires) a fait Ælohim les cieux et la terre et la mer et tout ce qui est en eux et il s’est arrêté au jour le septième (la 7ème manifestation phénoménique qui fut la génération). Ce pourquoi Hevah a béni le jour du repos et l’a sanctifié (en en faisant le jour consacré à la Femme pour la génération ; c’est l’origine du sabbat). »
Le sabbat, qui était le samedi saint, était le jour sacré, attendu, où le désir de l’homme, contenu pendant les six jours de la semaine, allait enfin trouver une satisfaction légitime, approuvée, sanctifiée, attendue par la femme elle-même, heureuse de se donner à qui a su la mériter par une chaste attente. C’est la Loi morale réalisée, l’accord entre la Loi de nature qui veut et la Loi morale qui retient.
NB : Les relations sexuelles n’ayant plus été réglementées par LA RELIGION, la licence masculine, dès lors, entraîna un accroissement anarchique de la population mondiale. Ainsi, en cette fin de Cycle, l’explosion démographique planétaire inédite du XXème siècle a vu la population mondiale multipliée par 2,4, et passée de 2.5 milliards d’habitants en 1950, à 6 milliards en 1999 ; elle est de plus de 8 milliards en 2023.
Robert McNamara, ancien secrétaire d’État à la Défense des États-Unis d’Amérique (celui qui ordonna le bombardement massif du Vietnam) et ancien président de la Banque Mondiale (qui imposa aux pays dits « en voie de développement » l’utilisation de moyens contraceptifs comme condition sine qua non pour obtenir des aides financières), membre également du « Council on Foreign Relations » (CFR), de la Commission « Trilatérale », du « groupe Bilderberg » et du « Lucis Trust », puissante association reconnue par l’ONU, et dont dépendent les mouvements pseudo spiritualistes du « New Age », déclarera : « On doit prendre des mesures draconiennes de réduction démographique contre la volonté des populations… Pour réduire la population terrestre il faut augmenter le nombre de décès et diminuer le nombre de naissances… Cela aura lieu, soit par le biais de mesures humaines soit par un coup d’arrêt malthusien ». Ainsi se développera, s’intensifiera et se banalisera l’usage des contraceptifs, des avortements, de la stérilisation et peut-être, bientôt, de l’euthanasie. Et pourquoi ne pas également, et dans le même temps, comme tous les grands « bouchers » de l’histoire, déclencher des guerres ici où là, des conflits mondiaux… nucléaires ; augmenter la souffrance des gens et les pousser au désespoir et au suicide ; provoquer des famines, des épidémies et même des pandémies fictives qui justifieraient un empoisonnement médical « scientifiquement correct » ; ou bien encore encourager la sodomie et finir par défendre la pédophilie ?
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