Tout ça est bel et bon mais le concept bourdieusien est bien antérieur aux forums électroniques (d’ailleurs en nette perte de représentation) qui ne survivent pour beaucoup que par leur côté tribal, ou du moins comme centre d’intérêt commun, même éphémère.
Autrement dit, pourquoi en serait-il autrement sur Internet que dans la « vraie » vie, dans la mesure où on y trouve que ce que l’on vient chercher, apporter ou imposer, y compris soi-même ?