Interdire le militantisme dans l’enseignement supérieur est loin d’être la bonne solution. Par contre, si l’encadrement de l’EN faisait son boulot, il y aurait sûrement moins de dérives. Mais comme partout, c’est la politique du parapluie, la déresponsabilisation complète, et le « pas de vague » comme seule réponse. Ce qui permet tous les abus.