@Iris
Il n’y a que les montagnes qui ne se rencontrent pas, je suis « heureux » de constater que vous soutenez ce débat qui va bien au-delà des arguments à mon sens assez simplistes sur « cela ne fait de mal à personne » ou « c’est une simple compassion assez naturelle ».
Vous posez un problème qui est peu souvent traité, le problème de conscience de celui qui est en charge d’injecter le produit létal. Regardez avec quelle précaution je dis cela pour ne pas choquer en évitant de parler de celui qui va « donner la mort »...
J’ai cru comprendre qu’un proche pourrait remplir ce rôle !!! Je suis sans voix devant cette… hypothèse qui va bien au-delà du problème de conscience du professionnel... Un pas supplémentaire remplit…