@joletaxi
Les
« agriculteurs » industriels sont bien obligés de
l’utiliser comme désherbant contre les « mauvaises »
herbes !
Ah
oui ? Et comment faisait on avant ?
Vont
ils comprendre qu’il n’y a pas de mauvaises herbes, mais des
collaborations naturelles des végétaux ?
Que
si certains sont qualifiés d’envahissants, c’est en réponse à
de très mauvais traitements des sols ?
Mais
savez vous que ces « agriculteurs » industriels ont trouvé
bien commode de répandre le produit sur les blés juste avant la
moisson ?
Soi
disant pour « assécher » la récolte, et donc éliminer
le risque de germination prématurée due à la pluie !
En
réalité, ils tuent les grains, qui perdent toute capacité de
germer : ce n’est qu’une question de confort, bien avant
même le risque de mouille.
Merci
aux techniciens des chambres d’agriculture : au printemps, les
champs deviennent rouges en 48h, juste avant les semis, et en juin,
tous les blés sont secs, homogènes, prêts à la moisson mécanique.
« De
mon temps », les moissons et la batteuse, c’était vers le 15
août ...
Donc
les quantités de ce produit dans les récoltes, dans le pain, sont
incroyablement élevées, alors que les études montrent des effets
létaux à des doses infinitésimales.
Ce
produit est accusé de provoquer le cancer.
Avec
tous les adjuvants (secret industriel), l’effet est encore plus
puissant.
Savez
vous qu’il a été démontré une corrélation directe entre les
utilisations de ce produit et l’épidémie d’intolérance au
gluten ?
L’industriel
avoue dans ses notices que le système intestinal des poissons peut
en souffrir : ils sont donc très bien informés ?
L’intolérance
au gluten apparaît avec la dégradation de la surface épithéliale
de l’intestin, exactement comme le dit l’industriel au sujet de
la « faune aquatique ».
Des
scientifiques américains ont démontré début 2014 un effet direct
du glyphosate à dose infime sur les cellules épithéliales de
l’intestin des poissons, mais un effet encore plus dévastateur du
produit mélangé à ses adjuvants.