@christophe nicolas
merci de votre visite et de la densité de votre apport... de toute manière, la servitude électrique et l’addiction à un « réseau » (donc au « sans effort ») nous a dépossédé de tout moyen d’agir sur notre avenir, ce qu’ont perçu les premiers observateurs de la société industrielle qui ont vu l’homme se laisser formater en animal laborans lors du passage des moulins à vent et de l’hydraulique au charbon et à la machine, donc aux manufactures..
depuis, l’excroissance incontrôlée des systèmes technologiques et des infrastructures se traduit par une artificialisation et un régime de prédation sans précédent dans l’aventure humaine : le système ou la mort devient « le système et la mort » sans la liberté pour s’imaginer autonome...alors que l’autonomie a toujours été le souci des esprits libres et vraiment respectueux de leur environnement...