M Chalot, je vous engage à lire mes articles et à me protéger de la violence qui m’a été faite par le tribunal, parce que j’étais un homme.
Il me semble que je vous ai déjà informé mais que vous avez nié les faits, ce qui est en principe impossible.
Je vous renouvelle ma demande de prendre en compte la privation des mes droits par les juges, ma souffrance et ma lutte.
Le dessin que vous présentez n’appartient pas à notre société. Présenter la moitié de l’humanité comme un ensemble de cogneurs est évidemment faux.