@pemile

Toujours incapable d’échanger sans insulte et sans attaque ad personam, pemile ?

Aveu de faiblesse, rien de plus. Vous montrez rapidement vos limites. 

Et oui, pemile, le monde dans lequel je vis n’a pas de « virus », ni de méchants, ni de sympathiques, pas de « virus » du tout. Et le monde dans lequel je vis explique très bien les maladies respiratoires en automne-hiver. Et ces explications, ne sont, pour le moment, pas prises en défaut.

Ainsi, lorsqu’arrivent les temps froids, des phénomènes atmosphériques font que la température au sol est inférieure à celle en altitude. Il se produit alors, par absence de pluie et de vent, un phénomène appelé « inversion thermique ». Et ces inversions thermiques ont la particularité de concentrer la pollution atmosphérique au niveau du sol.
Les épidémies de maladies respiratoires se produisent très exactement à ces moments là, toujours, tout le temps. Il suffit simplement de le « constater ». Ce n’est pas une théorie, comme la fumeuse « théorie virale », mais des faits remarquables et observables par chacun. Ces maladies respiratoires interviennent « brusquement », suivant de quelques jours les pics de pollution. Dès l’inversion thermique terminée, les maladies cessent aussi « soudainement » qu’elle sont apparues. C’est une « constante » jamais « démentie ». 

Voilà ce qui en est de la théorie virale, qu’il est très facile d’invalider puisqu’il n’existe ni contagion ni contamination mais, tout simplement « intoxication généralisée » par des phénomènes de pollution augmentée. Les matières particulaires de la pollution atmosphérique provoquent tous les symptômes et toutes les pathologies que l’on veut absolument faire porter à des « virus-artefacts ». Les méfaits de la pollution sur la santé humaine ont depuis longtemps été démontrés.

https://www.unige.ch/medias/2020/covid-19-la-qualite-de-lair-influence-la-pandemie

Voilà pemile, il vous suffira désormais de « guetter » les situations « anticycloniques » en automne-hiver, et de voir « débarquer », par absence de pluie et de vent, parce que la pollution atmosphérique sera exacerbée au niveau du sol, les « fameux virus ». Ils ne viendront pas avant et repartiront sitôt la pollution diminuée. La contagion et la contamination apparaitront peu de temps après le pic de pollution et cessera peu aprè son départ. Cela s’appelle, en réalité, une « intoxication collective ». Et la courbe de la mortalité présentera cette célèbre « forme en cloche » qui témoigne absolument de l’absence de contagion et de contamination.