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En réponse à :

Legestr glaz Legestr glaz 5 décembre 2023 11:29

@eau-mission

Je ne croie pas que la soupape ait sauté. Il se trouve que les « mises en perspective » sont, soit interdites, soit doivent « intégrer » les « méchants virus » qui deviennent alors de simples « co-facteurs ».

Les scientifiques qui ont fait le point et une corrélation « parfaite » entre pics de pollution atmosphérique et pics de maladies cardio-respiratoires en automne-hiver n’ont pas d’autre choix que de parler des « virus » mais ils savent très bien que les agents pathogènes de la pollution atmosphérique se suffisent à eux même pour rendre les gens malades et envoyer ad patres les plus fragiles d’entre eux.

Cette étude ci, par exemple, émanant d’un chercheur du CNRS et d’un autre de l’INSERM. Il y a du niveau, mais, mais, mais, il ne serait question de ne pas parler des « virus » accompagnant les matières particulaires de la pollution atmosphérique.

https://www.mdpi.com/2073-4433/14/8/1222

... « De tels résultats sur l’effet des particules sur la mortalité due à une pandémie respiratoire devraient être pris en compte par les autorités politiques, en particulier dans les régions où des pics de pollution élevés se produisent fréquemment en raison de conditions météorologiques spécifiques et de contraintes géographiques [ 42 ]. Pour mieux gérer les futures pandémies, les autorités devraient réduire toutes les activités industrielles, de transport et agricoles polluantes pendant les jours les plus critiques des conditions anticycloniques (hivernales) afin de limiter l’exposition de la population aux particules fines. »...

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