@Francis, agnotologue. Vous vous vexez qu’un amateur de psychanalyse vous parle d’érotisme ? C’est pour ainsi dire ce que vous nommez solipsisme. Or je ne suis pas d’accord car il y a un principe de réalité avec lequel notre principe de plaisir (érotisme/« solipsisme ») est aux prises, en fait lui-même réalité (eux-mêmes réalités, pour nous tous) dans la réalité : la réalité humaine se trame de ces velléités-là comme je disais velléité des animaux dans les précédentes considérations (narcissiques ou « animeuses »). Je crois que nous y sommes à fond là dans l’animosité vue votre retour.
Si vous me dîtes « chacun sa réalité » vous êtes dans la confusion que vous croyiez dénoncer juste avant, ce qui est très cocasse de votre part. Ne confondez pas le vocabulaire : il y a un réalisme (c’est-à-dire une prise en compte de la/des réalité/s) et il y a un perspectivisme (c’est-à-dire des perspectives érotistes/« solipsistes » sur cette/ces réalité/s). Le bon sens c’est précisément savoir négocier entre les deux, le principe de réalité/réalisme et le principe de plaisir/perspectivisme/érotisme/« solipsisme ».
Enfin ayant dit tout cela on n’avance pas je ne sais franchement pas où vous voulez en venir et je doute que vous le sachiez vous-mêmes, en dehors des chinoiseries (sauf mon respect pour les Chinois)...