@Tolzan
@Olivier
Cabanel
Comme
souvent, le diable gît dans les détails.
Stipulons
qu’en gros il existe 3 grands types de pompes à chaleur :
-
le système air-air, peu efficace sauf en milieu méditerranéen ;
-
le système air-eau, sensible à la température extérieure,
supposant un système d’appoint pendant les températures négatives
de la période hivernale et surtout performant lorsque le logement
est bien isolé (passoires thermiques à éviter impérativement) ;
-
le système à chaleur géothermique efficace quand on dispose de la
surface de terrain pour les capteurs, mais plus onéreux de
réalisation,
ou encore dans le même registre, le système eau-eau lorsque l’on
a la possibilité d’utiliser
l’eau souterraine d’une
nappe
phréatique pour capter de la chaleur, et la transférer au logement
via un plancher chauffant ou des radiateurs.
Soit
une grande diversité, avec des investissements et des résultats
fort
différents,
mais
il serait illusoire de demander à un bateleur en perte de
crédibilité ou à l’ingénieur des mines qui travaille depuis un
an sur cette planification, de potasser véritablement le sujet. Il
suffit d’adjoindre les qualificatifs « scientifique »
et « à la française » pour berner l’auditoire.
Première
réponse à venir sur le
nerf de la guerre, la
sortie du tarif européen de l’électricité promis cet automne !