@Nicole Cheverney
« ...répression des couches populaires... »
La répression concernait les opposants (anti-fascistes, communistes, anarchistes).
Les couches populaires soutenaient majoritairement Mussolini.
Être fasciste alors était un engouement populaire à l’opposé de ce qui se dit aujourd’hui à propos de Méloni « néo-fasciste ».
Ces« fascistes » étaient nationalistes, populistes comme le gauchiste Beppe Grillo.
Fasciste, nationaliste, populiste sont devenues les insultes habituelles des politicards en mal d’arguments.