C’est la tendance actuelle : les compagnies privées transnationale achètent les territoires et les infrastructure d’états entiers, tout en leur laissant la charge de l’administration, avec la bénédiction de leurs politiciens fantoches et avec le concours actif de leurs larbins locaux pour lesquels ils assurent la logistique militaire Pas gratuitement, évidemment l’ardoise s’alourdit et, en plus d’être spoliée, la population devra « honorer » cette dette. C’est pas génial, ça ?
En fait, le phénomène existe depuis lontemps en Afrique. Le « far-easr » est le nouvel Eldorado des conquistadors modernes.