There is no free lunch. FRIEDMAN

Il ’existe pas de repas gratuit...Il y a toujours quelqu’un qui paye. Et on peut ajouter il y a toujours un « marché ».

La réalité, c’est que nous nous sommes éloignés du capitalisme et que les mots actuels ne sont pas dûs au « capitalisme, » mais au contraire à son éloignement.

L’état est partout partout. Nous sommes une société socialiste qui s’ignore.

Pourquoi les gens ne cherchent pas de job ? La réponse est plus simple, l’emploi est un marché d’offre et de demande.

Le chomeur fait un calcul rationnel ou capitaliste, la prise de job comparée aux avantages procurés vaut-il le coup ? Tout simplement

Une responsabilité, des transports a payer, une nourrice a payer, un job inintéressant vaut il le coup par rapport a la valorisation de la perte de son temps libre ?

Le vrai défenseur du « pouvoir d’achat » c’est le capitalisme. C’est avec sa gestion des coups qu’il met a portée de main des articles hier de luxe aux masses. 

La redistribution, c’est l’envie de spolier les autres et le socialisme, les idées à la mode actuelle d’un pays socialiste qui ne sait pas qu’il est socialiste.

La gratuité est toujours « intéressée ». La gratuité comme le socialisme est une utopie en vertu de la loi de la « tragédie des communs Pareto ».

Tout système collectif, public ou « gratuit » est accaparé par les 20% au détriment des 80%.

Le capitalisme que tous les gauchistes veulent détruire a une vertu.

Le capitalisme comprend les incitations, ou l’idée que les gens sont naturellement égoïstes. Une personne ne crée pas une gratuité par bonté de cœur. 

La gratuité est un leurre a utopistes.

L’état, la personne morale ou individuelle le fait toujours pour son intérêt.

Pour préserver un pouvoir, dominer, avoir une intégration sociale ou se nourrir ou avoir un avantage ou une considération, voire même de l’amour. 

L’homme est d’un égoïsme d’une puissance incommensurable mais ne se déclare jamais comme intéressé, car le profit et l’intérêt n’est pas a la mode ou caricaturé en pays socialisé.

Le capitalisme pour les gauchistes qui exploitent la jalousie exploite juste l’égoïsme des hommes .

La gratuité est toujours incluse.

L’utopie de la gratuité, a un problème, c’est une utopie.

Matériellement, l’idée est sympa, la gratuité, c’est la fleur poétique au fusil, qui ne doit pas faire oublier que lorsque quelqu’un montre la fleur, il faut regarder qui tiens la gâchette.