En raclant les fonds de tiroir, on doit pouvoir mobiliser 100.000 soldats à peu près formés et équipés, suffisant pour aller casser du nègre mais pas des russes ou des tchétchènes.
Au bout d’une semaine de bombardement en Libye, on n’avait plus que des cailloux à jeter aux populations et plus de carburant à mettre dans les avions, il a encore fallu qu’on aille sucer l’oncle Sam pour finir sa sale besogne.