On a un peu l’impression que vous parlez du Nombril du Monde, hugo... comme d’une sorte de Narcisse répétant à l’envi des « moi-je, moi-je ! » indigestes.
Et aussi que vous ne vous êtes jamais intéressé aux cultures, sciences et religions extra-occidentales... ni aux « emprunts », aux prêts et aux collaborations entre grands érudits de l’époque.
Et s’il était accessoire, ce nombril ?