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Zagros 18 décembre 2022 14:20

@Nicole Cheverney

On nous bassine encore avec la religion climatique et le sempiternel « bilan carbone » ou l’ « empreinte carbone ».

Cela suppose que le CO2 doit être banni.

Cela suppose que le CO2 est le gaz à effet de serre prédominant.

Cela suppose que l’effet de serre est lui-même déterminant dans l’évolution climatique.

Et bien non, ces trois propositions sont largement fausses.

Ce qui suit est évidemment très simple et donc contestable, mais peut être développé...

L’effet de serre ne fait que réchauffer l’air de la troposphère (les basses couches atmosphériques, notre espace vital). Il faut aussi de la chaleur pour réchauffer les sols sur 20 ou 30 cm de profondeur et beaucoup aussi pour réchauffer l’énorme masse d’eau des couches supérieures des océans qui couvrent 70 % de la surface de la planète. L’effet de serre ne fait que convertir en chaleur les infra-rouges du rayonnement solaire renvoyés par la surface terrestre. Il est donc directement dépendant de l’activité solaire, seule source de chaleur pour la Terre (avec un peu de chaleur venue du plasma) et ne constitue nullement une source de chaleur. Si l’activité solaire vient à diminuer, l’effet de serre sera insuffisant pour nous maintenir au chaud. Ce qui arrivera tôt ou tard, avec un temps de retard de l’ordre de 15 ans dû à l’inertie des océans.

De plus le CO2 produit par les activités humaines ne représente que 4,1 % du CO2 atmosphérique (selon le GIEC lui-même, il faut lire attentivement le GIEC souvent très prudent et non relever que les seuls scénarios les plus catastrophiques au bénéfice de la recherche du sensationnel ou pour d’autres sombres motivations ).

Et bien plus encore, le CO2 lui-même, d’origine naturelle ou anthropique, n’est pas un gaz à effet de serre dans l’atmosphère où il est en présence d’autres gaz, car son absorption des infra-rouges est saturée par celle de l’humidité de l’air (dont les spectres d’absorption des IR recouvrent ceux du CO2, et plus concentrée dans l’atmosphère, au titre du phénomène physique dit de saturation). C’est un peu plus compliqué en fonction de l’altitude et de la température, mais au total, le CO2 ne retient pas la chaleur, les seuls vrais GES étant H2O-vapeur pour environ 70 à 90 % selon les lieux et les conditions météo (non modélisée par le GIEC.. !), le méthane et l’ozone pour quelques % chacun, quelques autres gaz pour peu de chose, le satanique CO2 pour quelques fractions de %, autant dire rien !).

Enfin le CO2 atmosphérique ne précède pas le réchauffement ou le refroidissement, il n’en est que la conséquence quand la température des océans varie (loi de Henry).

Au total, le CO2 n’ a quasiment rien à voir avec le climat, lutter contre le CO2 est une absurdité scientifique !

Une étude récente, réalisée simplement en bidouillant les modèles d’effet de serre tant encensés (mais non validés car non recalés sur les mesures réelles, soit dit en passant...) montre qu’un doublement de la teneur atmosphérique en CO2 n’aurait finalement aucune incidence sur la température de la troposphère.

Et donc les notions de chasse au CO2, neutralité carbone, taxe carbone, empreinte carbone, et autres niaiseries prétendument écologiques...sont totalement infondées du seul point de vue scientifique. Les raisons de cette hystérie climatique sont ailleurs, et les dévots du GIEC sont, soit des crédules, soit des complices.




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