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Legestr glaz Legestr glaz 6 décembre 2022 10:42

@Francis, agnotologue

J’insiste toujours et encore. Mais qu’est-ce qui rend les gens malades en période d’épidémie de maladies respiratoires ? C’est toute la question. Parce que pour lutter contre une maladie il faut savoir « comment » elle agresse l’organisme.

Et les maladies épidémiques hivernales sont provoquées par une pollution augmentée lorsque certaines conditions météorologiques sont rassemblées. Et les « agents pathogènes » s’appelle HAP (hydrocarbures aromatiques polycycliques), SO2 (dioxyde de souffre), NO2 (dioxyde d’azote), microparticules, particules fines et particules ultrafines (PM10, PM2,5, PM0,1)

 Le dioxyde d’azote peut causer des irritations aux yeux, au nez et à la gorge et peut aussi causer, par inhalation, des irritations des poumons et réduire la fonction pulmonaire.
 Le dioxyde de soufre produit une irritation sévère de la muqueuse du tractus respiratoire avec lésions cellulaires et œdèmes laryngotrachéal et pulmonaire. Il provoque de graves lésions irréversibles pour la peau et les yeux. Le dioxyde de soufre est un gaz toxique par inhalation.
 
Actuellement, les effets toxicologiques de tous les HAPs sont imparfaitement connus. Toutefois, les données expérimentales disponibles chez l’animal ont montré que certains HAPs pouvaient induire spécifiquement de nombreux effets sur la santé, des effets systémiques (effets hépatiques, hématologiques, immunologiques et développement d’athérosclérose), et/ou des effets sur la reproduction ainsi que des effets génotoxiques et cancérigènes.
 Les particules PM10 les plus grosses sont évacuées de l’atmosphère en principe dans les quelques heures qui suivent leur émission, soit par sédimentation soit sous l’effet des précipitations. Les particules PM2.5 et PM1 ont en général des vitesses de sédimentation plus faibles et peuvent donc rester en suspension dans l’atmosphère pendant des jours, voire plusieurs semaines. Par conséquent, ces particules peuvent être transportées sur de longues distances et subir des transformations physico-chimiques. Nos voies respiratoires sont faites pour filtrer l’air que nous respirons. Elles sont efficaces contre les PM10 qui restent bloquées dans les voies supérieures (le nez notamment). Cependant, plus le diamètre des particules est fin et plus les PM peuvent s’enfoncer loin dans les voies respiratoires inférieures. C’est là quelles sont dangereuses car elles s’accumulent dans les poumons et dégradent la respiration. Les plus fines des particules (les PM1.0 et les PM0.1) peuvent traverser la barrière des poumons et passer dans le sang. Elles peuvent entrainer avec elles d’autres substances toxiques voire cancérigènes ou mutagènes (métaux, HAP...).

Tous les agents pathogènes cités agressent les voies respiratoires et agressent l’endothélium vasculaire. Ce dernier lutte contre ces agressions et lutte contre le stress oxydatif que développe l’organisme pour « éliminer » ces agents pathogènes. Et les personnes dont la fonction endothéliale est préalablement dégradée et dont le système oxydants / antioxydants est diminué, paient un lourd tribu à ces agressions. Et les personnes qui tombent malades et/ou qui décèdent de ces agressions sont « parfaitement ciblées » : elles présentent « toutes », absolument « toutes », une dysfonction endothéliale et un système anti-oxydant minoré. Vous les reconnaitrez à travers les diabétiques, les hypertendus, les insuffisants rénaux, les malades du coeur et des coronaires, les obèses. Voilà donc les personnes qui sont susceptibles de moins supporter les agressions des agents pathogènes issus de la pollution atmosphérique. Ce sont toujours les mêmes personnes, toujours et tout le temps. J’ajoute certaines maladies génétiques au tableau, comme la drépanocytose (en lien avec la disponibilité d’oxygène dans l’organisme).

Je précise que tous les traitements dont il a été question dans la lutte contre cette maladie respiratoire appelée « covid19 », avaient pour principe de fonctionnement la « lutte anti-oxydante ». L’hydrochloroquine a de puissants effets anti-oxydants. L’ivermectine aussi. Le zinc aussi. Ainsi, toutes les molécules ayant un effet « anti-oxydant » sont susceptibles d’améliorer la balance « redox » du malade. Parce que l’organisme humain n’a qu’une seule et unique solution pour se débarrasser de ces agents pathogènes issus de la pollution atmosphérique : produire des espèces réactives à l’oxygène  ERO- qui vont détruire ces agents pathogènes. Et cette action de destruction de ces agents pathogènes par les ERO doit « absolument » être compensée par la production de molécules « anti-oxydantes ».

Les « vaccins » sont un leurre, les « vaccins » sont une supercherie. Ils ne peuvent en aucune façon lutter contre les agents pathogènes issus de la pollution atmosphérique. Les « virus » sont des « artefacts », ils sont confondus avec les vésicules extracellulaires. Ce qui tue les personnes lors des maladies respiratoires hivernales (mais aussi durant les canicules par l’O3) ce sont les agents de la pollution atmosphérique.

Certains chercheurs « osent » mais sur la pointe des pieds, en marchant sur des oeufs.

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/27432966/


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