On oublie Marcuse.... L’article ne prend pas assez en compte l’inconscient collectif. Et l’inconscient collectif fonctionne un peu comme les vases communiquants ou le Pendule de Foucault. Un mouvement entraîne Ipso facto sa tendance inverse. Car sur le fond, l’humain pour survivre, recherche toujours une forme d’équlibre. Le chaos prépare l’ordre. La fraternité, la haine et le rejet de l’autre. La liberté, la recherche de chaînes. Le blanc attire le noir etc. Les peintres connaissent parfaitement cette « cohérence » qui vu de l’extérieur peut paraître « folle ». Quand on saisi le mouvement on s’y prépare très à l’avance.... Règle numéro UN : prendre du recul...