@Francis, agnotologue

Exactement Francis. Il n’est pas question pour « big Pharma » d’informer les « malades » sur les raisons véritables de leur(s) maladie(s) : une personne guérie étant un client de moins. Plus les gens développent de maladies, et plus les profits de l’industrie pharmaceutique augmentent. Pourquoi, dans ces conditions, « tuer la poule aux oeufs d’or » ? 

Toutes mes lectures d’études scientifiques me conduisent d’une manière inexorable vers le « stress oxydatif ». L’étude ci-après, datant de l’année 2002, a été citée 12760 fois, c’est un score absolument phénoménal et ahurissant. Je ne sais même pas s’il existe une autre étude qui dépasse ce nombre de citations ? Simplement pour souligner que, dans le domaine de la recherche sur les maladies, le « stress oxydatif » occupe une place prépondérante et majeure. Et pourtant, une très grande majorité de personnes ignorent ce qu’est le « stress oxydatif (et nitrosatif) et que cela puisse même exister. On passe ainsi à côté du véritable problème. 

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/11773609/

... » À des concentrations élevées, les radicaux libres et les espèces réactives non radicalaires dérivées de radicaux sont dangereux pour les organismes vivants et endommagent tous les principaux constituants cellulaires.

... «  Une augmentation excessive et/ou soutenue de la production de ROS a été impliquée dans la pathogenèse du cancer, du diabète sucré, de l’athérosclérose, des maladies neurodégénératives, de la polyarthrite rhumatoïde, des lésions d’ischémie/reperfusion, de l’apnée obstructive du sommeil et d’autres maladies. En outre, les radicaux libres ont été impliqués dans le mécanisme de la sénescence. Le fait que le processus de vieillissement puisse résulter, au moins en partie, de dommages oxydatifs induits par des radicaux a été proposé il y a plus de 40 ans par Harman (J Gerontol 11 : 298-300, 1956). Il est de plus en plus évident que le vieillissement implique, en outre, des changements progressifs dans les processus de régulation médiés par les radicaux libres qui entraînent une altération de l’expression des gènes. »...

Ainsi, il suffit de « peu », de très « peu », pour déséquilibrer la balance « oxydants / antioxydants ». Par exemple, lors des épisodes hivernaux d’augmentation de la pollution atmosphérique, le système respiratoire humain est soumis à une très violente augmentation du stress oxydatif. Et, chez les personnes chez qui la balance « redox » est à peine à l’équilibre, l’augmentation du « stress oxydatif » est particulièrement dangereux, voire mortel. Les personnes qui décèdent des maladies respiratoires hivernales sont celles qui, comme je l’ai souligné, présentent un déséquilibre de leur balance « redox ». Toutes les preuves sont devant nos yeux, encore faudrait-il les prendre en considération pour « soigner » les malades. Mais, est-ce bien le but recherché ? 

Et, malheureusement, les « vaccins » n’ont strictement aucune incidence sur l’augmentation du statut « antioxydant » de l’organisme. Pour soigner, ou, éviter, du mieux possible, ces attaques de maladies respiratoires hivernales, il faut augmenter la puissance antioxydante de l’organisme. Les vitamines (A, C, D et E) sont les bienvenues mais aussi tous les « co-facteurs » qui participent à l’action « antioxydante » de l’organisme à travers différentes enzymes ou complexe enzymatique (le zinc, le cuivre, le manganèse, le fer, le sélénium) et, bien entendu, toutes les autres molécules qui ont un pouvoir antioxydant. 

https://www.pensersante.fr/un-arsenal-antioxydant-dependant-des-oligoelements