Il manque ce que les ayatollahs verts, surtout Parisiens, voudraient voir supprimer que sont leurs fameuses « particules fines » qui encombreraient leurs naseaux délicats.
L’essence en serait dispensée par la magie de l’imagination fertile de ces misérables prêtres de la pureté de l’air qu’ils respireraient, polluée par les subventions.
Quand entendrons-nous ces bigots dénoncer les volcans qui polluent bien plus gravement l’atmosphère à chacun de leurs pets que tous les moteurs thermiques existants ?