Peut-être que certains « dirigeants » européens se rendent compte un peu tard qu’au delà de leur servilité à l’égard de l’administration américaine, ils ont quelquefois un pays à « diriger », et éventuellement à défendre… Quoique l’on pense de lui par ailleurs, V. Orban semble avoir été le plus lucide sur ce point, parmi, il est vrai, une troupe de larbins à canne blanche (aux normes CE) dont le minuscule de l’Élysée est une belle figure à nez rouge.