Bon, on n’est pas obligés de se fader toutes les merdes
people de l’hexagone, mais il en faut : ça peut consoler les mémés et leur
permettre de vivre par procuration.
Par contre, le fait d’imposer une merde d’outre-Atlantique
révèle une dérive pire que ce penchant pour le mauvais goût, c’est le fait d’être
convaincu de la supériorité d’une pseudo-culture qui n’est même pas la nôtre.