Je me souviens que la lecture « d’histoire d’ O » écrit par Pauline Réage à fait bouger pas mal de baguette de sourcier.
C’était aux édition Pauvert, la bien nommée
Mais l’époque est à la surenchère, et autant à la sécheresse. De ces deux mouvements en contradiction, la débandade est assurée.
Et les pompes, déjà, n’aspirent plus que de l’air, pour ne plus cracher que quelques postilons.
« J’ai bien peur que la fin du monde soit bient triste » ! Nous disait Brassens.