@Aristide
Une cohabitation ? Oui, c’est l’exemple que je cite dans mon long article. Un régime parlementaire stricto sensu ne permettrait pas à un PR d’en faire qu’à sa tête et de dissoudre l’assemblée nationale, sous des pressions diverses, comme ce fut le cas avec Chirac, pour s’acquoquiner avec ses opposants, et liquéfier la cohésion du parlement.