Epaté !
Epaté !
Chapeau
bas ! A peine né LE Omachin est déshabillé, écartelé,
démembré, décrypté avec ses fanfreluches et
comparé en partie à l’ancien (lequel au fait). Ce
dernier, toujours appelé LE virus, hélas, a perdu la vie sauf sur
les disques durs sans doute avec bien d’autres qui pourraient se
réveiller.
Alors
que les graphiques de l’IHU de Marseille voudrait convaincre
qu’à partir d’un tronc commun, sans détails, une grande
quantité de variants naissent, vivent et enfin meurent, il serait
possible d’en distinguer UN, LE virus, l’élu ma foi, c’est à
la mode, qui serait le bon le meilleur, le plus prolifique, le plus
résistant, le plus combatif, le plus politique… en attendant
d’être éternel. Depuis la publication du Omachin il en a fabriqué
combien de variants ce Omachin puisque c’est son métier à CE
virus.
Si
l’exposé est technique, un peu trop pour le profane, Il n’en
reste pas moins que Le Omachin tombe à pic pour la relance des
injections géniques, la troisième dose, la course au QR code en
carotte, guetter le super confinement avec des chiffres bidonnés et
même à perturber les jeux olympiques d’hiver en Chine. Mais
qu’est qu’ils croient ceux-là !
Epaté !
Epaté ! Epaté !