MONTEBOURG a déjà pris un râteau aux primaires de 2017 qui l’a renvoyé dans son jardin, ruminer tant il avait les abeilles, au point d’en devenir apiculteur. Et voilà qu’aujourd’hui, il se pique de devenir président. Usurpant sans vergogne comme l’autre Macron le symbole des jours heureux qui faut-il le rappeler, est le titre du manifeste social le plus important de notre siècle, construit en grande partie dans la clandestinité durant la seconde guerre mondiale avant d’éclore à son sortir pour donner aux travailleurs la sécurité sociale, la retraite et moultes autres droits dont ils étaient jusqu’alors privés. Droits sociaux que d’aucuns aujourd’hui, forts de leur pouvoir, s’évertuent à rogner tous les jours un peu plus.
Alors de grâce, Messieurs les opportunistes ambitieux, par respect pour Ambroise CROIZAT et ses compagnons, évitez d’utiliser le terme de « Jours Heureux » pour servir votre com de politicards sans envergure.
Merci