@Francis
Bon, c’est du Goldman, aussi, cette chanson : pas du Prévert, du Reggiani ou du Brel !
En gros, j’espère qu’il voulait dire « ne restez pas dans votre coin, joignez-vous à nous, ne serait-ce que pour manger un morceau et passer un bon moment »...
Mais c’est vrai, aujourd’hui, il est des périodes de l’année où pauvres et malades deviennent des sortes d’animaux de foire... Il n’ont même plus le droit de rester seuls avec leurs faims, avec leurs maux, avec leurs soifs. On leur dénie le sens figuré de ces affections.
... Comme si on avait peur qu’ils nous gâchent la fête !