Le Président des chasseurs a seulement proposé de piéger les chats. En toute logique, pas pour les relâcher, mais pour les abattre (sauf, je suppose, ceux ayant un propriétaire identifié) proprement, comme le fait la SPA quand elle ne peut faire autrement.
Même coupés et en surcharge pondérale, les chats ne perdent pas leurs instincts prédateurs. Un vrai fléau pour la petite faune.
Et pourtant, c’est mignon, un chat !