Il faut espérer, en effet, que ce texte ouvrira le dialogue. J’aurais personnellement ajouté
« à qui le veut » plutôt
que « à qui le peut »,
l’article lui-même montrant qu’une des
pires caractéristiques de notre époque est la volonté de ne pas rechercher la
vérité.
Je pense cependant que l’auteur de cet article diminue son
intérêt en choisissant de traiter de la
Vérité avec une majuscule. Il tombe ainsi dans
une autre forme de ce qu’il dénonce, la présentant comme une alternative,
ce que, selon moi, elle n’est pas. Ce mauvais choix conduit à privilégier la
notion religieuse de « Vérité », en la « sacralisant » une
fois de plus. Alors que la juste dénonciation
des « 4 priorités » - effectivement très largement adoptées dans
l’actuelle société - pourrait conduire à
une critique plus étendue, dans laquelle
les tricheries religieuses ne seraient pas épargnées.