@xana
Libre à vous de prendre les fauves (ours) pour des peluches. Il n’en reste pas moins que les grands prédateurs sont dangereux pour l’espèce humaine, que cela vous choque ou non. Et que l’espèce humaine, de 8 milliards d’habitants aujourd’hui, a le droit de vivre. Si ces grands prédateurs perdurent dans les grands espaces (Sibérie, Amérique du Nord...) c’est encore une fois parce que la cohabitation hommes/grands prédateurs dans les espaces anthropisés comme l’Europe occidentale est impossible. Le narratif du nounours ou du louloup bien gentil avec l’humain ne résiste pas à la dictature du réel. A moins que vous ne vouliez réduire la population humaine à 1 milliard d’habitants, à l’instar des malthusiens qui le préconisent mais ne se proposent pas au suicide direct pour faire de la place aux prédateurs...