L’approche holistique du président (sa vision « universelle ») a mis un frein définitif dès le départ à sa réforme des retraites. Alors que Descartes, au contraire, recommande par sa méthode d’examiner un problème en autant de parties qu’il est « nécessaire » (ce qui ne signifie pas « possible »).
D’ailleurs, ne dit-on pas « réforme DES retraites » et non « réforme de LA retraite » ?
Pour en sortir (s’il n’est pas trop tard...), il faut quitter l’approche holistique et revenir à la méthode cartésienne.