Il y a maintenant de la « prolophobie ».
Je vois et j’essaie de faire voir à mes contemporains que nous sommes passé d’une idée dynamique des injustices : les prolétaires étaient anti-capitalistes et la voie de la Révolution qui règlerait le problème était claire dans leur imaginaire, à une idée immobile des injustices : l’identité, et là on trouve des phobes (islamophobes, homophobes...) tout est stable et on ne sait pas quelle solution existe (décoloniser les esprits par exemple... Un exemple d’une démarche de décolonisation des esprits, s’il vous plait)
Il semble que une jonction est en train de se faire : relire le passé en terme de fixité, d’identité.