Quoi qu’il en soit, la mise en oeuvre du socialisme appelons ça comme ça - se heurte à un problème rédhibitoire : sa peur, paranoïaque ou non, d’un retour de la « réaction » l’oblige à installer d’emblée un dispositif de surveillance des citoyens et des citoyens entre eux qui l’engage irrémédiablement sur la voie de l’Etat policier totalitaire.
On notera que ce n’est pas un leader communiste qui a démissionné après avoir perdu le référendum qu’il avait lui-même organisé, c’est l’abominable Pinochet, le tyran des tyrans, l’assassin des assassins.
- Quoi Pol Pot ?