Ce qui se passe dans la classe moyenne, oui. Et c’est pourquoi la dictature du prolétariat, non merci, très peu pour moi. Assez de subir la norme du nombre. Par contre l’auteur vous répond sur votre point aveugle alors que les profits s’accumulent ailleurs et comme jamais.
On ne prend la pleine mesure de la misère que lorsqu’elle s’invite à votre porte, hein. Merci donc d’avoir un peu de considération.